Une pensée pour...

RIP Bernard Rapp.

Réalisateur, Scénariste, Producteur, Acteur, Dialoguiste français
Né le 17 Février 1945 à Paris (France)
Décédé le 17 Août 2006

J'avais beaucoup aimé Une affaire de goût et Pas si Grave.

J en'ai jamsi du voir l'un de ses films, mais je le ocnnaissais de nom. Paix a son ame.

Glenn Frod nous a quitté le 30 Août à l'âge de 90 ans.

Fiche Accueil Allociné
Filmographie Allociné

Glenn Ford, une des dernières légendes d'Hollywood vient de mourir (Forum).

Inoubliable dans Gilda et Règlements de Comptes.


Nous ont quitté ces derniers temps...

Aaron Spelling, le 23 Juin, à l'âge de 83 ans.
Aaron Spelling, mort d'une légende

Fabian Belinski, le 29 Juin, à l'âge de 47 ans.
Décès du cinéaste argentin Fabian Bielinsky
NB : Belinski ou Bielinsky ?

Juan Pablo Rebella, s'est suicidé le 5 Juillet, 32 ans.

June Allyson, le 8 Juillet, à l'âge de 88 ans.
Décès de l'actrice américaine June Allyson

Mickey Spillane, le 17 Juillet, à l'âge de 88 ans.

Jack Warden, le 19 Juillet, à l'âge de 85 ans.
Décès du comédien américain Jack Warden

Gérard Oury, le 20 Juillet, à l'âge de 87 ans.
Décès du réalisateur Gérard Oury

Lise Delamare, le 25 Juillet, à l'âge de 93 ans.

NB : Cliquez sur les liens c'est instructif, et je n'aurai pas retapé presque entièrement ce post TROIS FOIS pour rien. Merci.

EDIT

Décès du comédien américain Mako, le 21 juillet 2006. Il avait 72 ans.

Décès du décorateur Bernard Evein

Décès de l'acteur Bruno Kirby, le 14 août 2006. Il avait 57 ans.

Steve Irwin est mort hier à l'àge de 44 ans.

Citation :

Et bien voilà, à force de jouer au con, Steve Irwin est parvenu à ses fins puisqu'en allant déranger une simple Raie Pastenague à quelques kilomètres de chez lui seulement, le bonhomme s'est purement et simplement fait empaller la poitrine par le dard de l'animal peu enclin aux chatouilles. Il est mort hier, devant ses propres cameramen, quelques secondes plus tard, laissant tout de même derrière lui femme et enfants. Des enfants qui auront au moins cette chance d'être toujours vivants puisque Steve aura, par le passé, fait scandale en nourrissant – encore face caméra – un crocodile tout en tenant son bébé dans les bras.

Une petite video bien triste

Une autre video bien triste, mais avec plein de bestioles !

Encore une video triste, mais accompagnée de Forever Young !

Une pub pour je sais pas trop quoi, mais avec un koala à la fin (et pas triste pour une fois !)

Ha, ha, ha, quel crétin !

Plein de videos d'hommages sur YouTube, mais pas de best-of de ses émissions...
Ou alors, j'ai mal cherché...

EDIT : Ah si quand même un petit best-of de ses chutes...

Et enfin, le meilleur pour la fin, l'épisode de South Park dans lequel était mis en scène le grand Steve Irwin !
Crocodile Hunter (VO)

Quelle vacherie la mort !

Citation :

Rémy Belvaux est mort (06/09/2006)

© D.R. Il avait réalisé le fim culte "C'est arrivé près de chez vous". Il avait 39 ans

BRUXELLES Rémy Belvaux, connu pour avoir réalisé le film culte "C'est arrivé près de chez vous", est décédé inopinément lundi. "Tous ceux qui l'ont connu savent qu'il pouvait aimer les autres jusqu'à s'oublier lui-même. Il s'est perdu pour toujours ce lundi 4 septembre 2006 vers 22h35 à Orry-la-Ville dans l'Oise, quelques kilomètres au Nord de Paris", indiquent sa familles et ses proches mercredi dans un communiqué.

Né en novembre 1967 à Namur, Rémy Belvaux est le frère du réalisateur Lucas Belvaux ("La raison du plus faible") et du metteur en scène Bruno Belvaux ("Modèle déposé" avec Benoît Poelvorde).

Réalisateur, scénariste, producteur, acteur, monteur, dialoguiste, Rémy Belvaux avait étudié à la Cambre en dessin animé et à l'INSAS en réalisation. C'est dans la vingtaine qu'il s'était fait connaître du grand public en réalisant "C'est arrivé près de chez vous", avec Benoît Poelvorde.

"Un film qu'Oliver Stone et Scorcese considèrent comme l'une des plus grandes étapes du cinéma contemporain", soulignent ses proches. Il y incarnait également le personnage, devenu culte lui aussi, de Rémy.

Rémy Belvaux s'était depuis tourné vers la réalisation de films publicitaires et habitait dans la région parisienne. Il fut six années de suite sacré le meilleur réalisateur de pub de France. "Alliant la créativité du dessinateur à celle du cinéaste naturaliste, ses scripts et ses lay-out étaient des toiles en mouvement qui arrêtaient dès le dessin ce qui serait le plan à l'écran", expliquent ses proches.

"Il avait revu son point de vue sur un cinéma de la cruauté et parlait sans cesse d'une autre inspiration positive, picaresque et humaniste dans laquelle il voulait engager son oeuvre à venir. Il nous laisse un chef d'oeuvre et des tonnes de regrets", concluent sa famille et ses proches

Décès du réalisateur belge Rémy Belvaux

Il est mort jeune ... paix à son ame

Décès du scénariste français Gérard Brach

Citation :

Collaborateur privilégié de Jean-Jacques Annaud et Roman Polanski, le Français Gérard Brach, auteur des scénarios du "Nom de la Rose" et du "Bal des vampires", s'est éteint dans la nuit du 9 au 10 septembre. Il était âgé de 79 ans.

Le cinéma français a perdu l'une de ses grandes plumes. Scénariste d'une cinquantaine de longs métrages depuis 1964 et Les Plus belles escroqueries du monde, réalisateur à deux reprises (La Maison en 1970, Le Bateau sur l'herbe en 1971), Gérard Brach est décédé à l'âge de 79 ans, dans la nuit du samedi 9 septembre au dimanche 10 septembre dans un hôpital parisien. Auteur du récent Blueberry de Jan Kounen et du prochain Sa majesté Minor de Jean-Jacques Annaud, Gérard Brach avait notamment signé les scripts de L'Ours, La Guerre du feu, Le Nom de la rose et L'Amant pour le cinéaste. On lui doit aussi les scénarios de Cul-de-sac, Répulsion, What ?, Le Bal des vampires, Tess, Le Locataire, Pirates, Frantic ou encore Lunes de fiel pour Roman Polanski, mais également ceux du diptyque Jean de Florette / Manon des Sources de Claude Berri.

Giant Coucou est mort.

Bon, ok, il est mort le 25 février 2005.
Mais quand même.



Lien [Mort de Désiré Bastareaud] Ce n'est qu'un Au Revoir

je ne conaissais pas....normal au vue de sa filmo me direz vous http://www.imdb.com/name/nm0060404/

Décès de Cléopatra Jones

Célébrités - lundi 9 octobre 2006

L'actrice américain Tamara Dobson, icône de la blaxploitation et éternelle incarnation de Cléopatra Jones, est décédée au début du mois d'une pneumonie. Elle avait 59 ans.



Une icône disparaît.
L'actrice noire américaine Tamara Dobson, figure emblématique de la blaxploitation dans les années 70, s'est éteinte le 2 octobre dernier des suites d'une pneumonie.
Après plusieurs années passées en tant que top-model, elle était devenue une star du grand écran en incarnant l'agent secret Dynamite Jones (Cleopatra Jones en version originale) dans Dynamite Jones, en 1973.
Une suite, deux ans plus tard, intitulée Cleopatra Jones and the Casino of Gold, confirmait une ascension fulgurante.
Tamara Dobson allait ensuite se faire plus discrète, effectuant de modestes apparitions sur grand et petit écran jusqu'au milieu des années 80.

Clément Cuyer

Lien Allociné

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18393424.html

Triste nouvelle...

Décès du cinéaste Gillo Pontecorvo

Célébrités - vendredi 13 octobre 2006

L'Italien Gillo Pontecorvo, réalisateur de "La Bataille d'Alger" et "Kapo", s'est éteint ce jeudi 12 octobre, à l'âge de 86 ans.



Réalisateur des controversés La Bataille d'Alger et Kapo, le cinéaste italien Gillo Pontecorvo est mort ce jeudi 12 octobre. Militant communiste et créateur engagé, il aura placé sa carrière toute entière sous le signe de l'engagement.

La révélation "Païsa"

Diplômé en chimie, Gillo Pontecorvo se destine tout d'abord au journalisme. Mais la découverte de Paisa de Roberto Rossellini, pierre angulaire du néo-réalisme, bouleverse ce jeune militant communiste. Il décide alors de se consacrer au cinéma. Tout d'abord assistant réalisateur pour Francesco Maselli (lui aussi communiste) et Mario Monicelli, il passe rapidement à la réalisation, faisant ses armes dans le documentaire, un genre auquel il reviendra régulièrement. En 1955, il s'essaie à la fiction avec le court métrage Giovanna, qui suit une grève dans une usine textile en Italie. Il passe au long métrage en lançant Yves Montand sur La Grande route bleue, où un pêcheur est tiraillé entre sa conscience et l'obligation de nourrir sa famille. Pontecorvo confie le scénario du film à Franco Solinas, appelé à devenir un proche collaborateur du cinéaste. Deux ans plus tard, le réalisateur signe un film d'une ambition rare, Kapo, qui plonge dans le quotidien d'un camp de concentration. Portée par Emmanuelle Riva et Laurent Terzieff, cette oeuvre crée la polémique et vaut au réalisateur les foudres de Jacques Rivette, plume acérée des Cahiers du Cinéma.

La Bataille d'Alger

Après une longue éclipse et un projet avorté (Paras, consacré au colonialisme français en Algérie), Gillo Pontecorvo revient sur le devant de la scène avec La Bataille d'Alger (1966), qui se concentre sur l'un des épisodes les plus sanglants de la guerre d'Algérie. Réalisé quatre ans après la signature des accords d'Evian, ce film italo-algérien décrit avec réalisme la résistance algérienne et le déploiement des parachutistes français dans les rues d'une ville en état de siège. Le censure française n'accordera un visa d'exploitation au film qu'en 1971. Avec les années, l'oeuvre, couronnée du Lion d'Or au festival de Venise en 1966, deviendra une référence.

Oeuvres militantes

Après l'échec de Queimada (1969) – une fable politique avec un Marlon Brando tout en démesure -, Pontecorvo se met en retrait du cinéma. Une décennie plus tard, il opère un nouveau retour sur les plateaux et prouve, avec Opération Ogre, qu'il est resté un militant farouche et tire à boulets rouges sur le régime franquiste. Ce thriller antifasciste restera la dernière fiction du cinéaste, qui se consacrera par la suite au documentaire (Un autre monde est possible).

Vincent Garnier

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18393531.html

Décès de... Nancy Allen
je sais c'est dur

C'est avec une grande tristesse que nous venons d'apprendre le décès de l'actrice Nancy Allen, des suites d'une hémorragie cérébrale, le 12 octobre 2006.

L'actrice, née le 24/06/1950, avait rencontré Brian de Palma en 1976 sur le tournage de "carrie au bal du diable". Elle s'était mariée avec lui en 1979, puis avait divorcée en 1983.

On a pu la voir dans de nombreux films, comme "pulsions", "robocop", "blow out", "1941", "poltergeist 3", "robocop 2", où elle illuminait de sa beauté la pellicule.

http://www.horreur.com/resize2.php?largeur=300&img=images/newsimgs/908-2.jpg

source ; horreur.com

Ma réaction en lisant ceci (véridique) : "Nan ! C'est pas vrai ? Oh putain ! Oh putain !"

C'est super triste.

L'actrice éternelle de Robocop et de Carrie au Bal du Diable faisait partie de cette catégorie de comédienne que l'on chérie, que l'on aime profondément pour une poignée de films indissociables de l'actrice.
Anne Lewis n'est plus...



Une autre s'en va, encore trop jeune, et nous laisse pantois...

Encore un de ces sourires qui va manquer au cinéma.

Merde... J'aimais beaucoup Anne Lewis dans "Robocop" (J'avais même mal supporté sa mort dans "Robocop 3" Grrr...)

Moi, c'est Robocop 3 tout entier que je n'ai pas du tout supporté...

Décès de l'acteur Daniel Emilfork

Célébrités - mercredi 18 octobre 2006

L'acteur français d'origine ukrainienne Daniel Emilfork est décédé ce mardi 17 octobre, à l'âge 82 ans. "Gueule" du cinéma hexagonal, il avait incarné le savant fou de "La Cité des enfants perdus".



Crâne chauve, visage émacié, oeil perçant, Daniel Emilfork occupe une place de choix dans la galerie des "gueules" du cinéma français.
L'acteur est décédé ce mardi 17 octobre, à l'âge de 82 ans.

Venu d'Ukraine

Issu d'une famille originaire d'Odessa (Ukraine) fuyant les pogroms, Daniel Emilfork, né Daniel Zapognikof, gagne la France dans les années 50.
Formé à la comédie par Roger Blin et Tania Balachova, l'acteur impose d'emblée son physique inquiétant que renforce encore un accent venu de l'Est auquel il se plaît à donner les inflexions les plus lugubres.
Au théâtre, il fait sensation dans le répertoire classique, jouant notamment Shakespeare, Lorca ou Tchekov dans le cadre de la compagnie Balachova.
Remarqué par Marc Allégret, Emilfork débute au cinéma dans Futures Vedettes (1955), avec Jean Marais et Brigitte Bardot.
Dès lors, l'acteur va s'imposer comme l'un des seconds rôles incontournables du cinéma français.

Malaise et ambiguïté

Drame historique (Notre-Dame-de-Paris, Le Triomphe de Michel Strogoff), espionnage (OSS 117 se déchaîne), film noir (Les Espions) ou horreur (Midi minuit), Emilfork explore tous les genres et tous les supports, composant de savoureux personnages pour le grand comme pour le petit écran.
Mais quelque soit le rôle, il crée l'effroi ou suggère le malaise et l'ambiguïté avec un sens aigu de la nuance.
"Gueule" du cinéma hexagonal, le comédien ne néglige pour autant l'international, et joue sous la direction de Clive Donner (Quoi de neuf, Pussycat ?), Peter Ustinov (Lady L.), George Cukor (Voyages avec ma tante) et surtout Federico Fellini (Casanova).
Actif sur les plateaux de cinéma, l'acteur l'est aussi sur les planches, participant aux mises en scène de Patrice Chéreau et Claude Régy.
En 1986, il marque les esprits dans Marat-Sade de Peter Weiss.

Savant fou pour Caro et Jeunet

Quelque peu ignoré par la nouvelle génération des cinéastes français, Daniel Emilfork connaît un retour grâce à Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro, qui lui confient en 1994 le rôle du scientifique voleur de rêves d'enfants dans La Cité des Enfants Perdus.

Vincent Garnier avec AFP

Lien Allociné

Filmographie


Daniel Emilfork, Jacques Dufilho, Gina Lollobrigida et Philippe Clay
dans Notre-Dame-de-Paris


Dans La Cité Des Enfants Perdus

Rapide copié-collé de l'article Allociné, que je mettrai en forme en revenant ce soir...

Décès du compositeur Basil Poledouris

Célébrités - jeudi 9 novembre 2006

Basil Poledouris, auteur des bandes originales de "Conan le barbare", "Robocop" et "Starship Troopers", est décédé ce 8 novembre 2006. Il avait 61 ans.



Les fans de SF et d'héroïc fantasy ont en tête ses bandes originales de Conan le barbare, Robocop et Starship Troopers. Collaborateur privilégié de John Milius et Paul Verhoeven, plébiscité pour ses compositions épiques, Basil Poledouris a succombé à un cancer ce mercredi 8 novembre 2006 à l'âge de 61 ans.

Des études de cinéma aux côtés de Lucas, Milius et Kleiser

Initié à la musique dès l'âge de 7 ans, et notamment au piano, Basil Poledouris se détourne finalement de ses études musicales pour s'intéresser au septième art, qu'il considère comme "la musique de sa génération, un art nouveau sans aucune règle, s'accordant parfaitement avec la façon dont les Beatles changeaient le monde et dont le monde lui-même changeait". Il étudie alors le cinéma à l'USC, où il croise, entres autres, George Lucas, Randal Kleiser et John Milius, qui deviendra l'un de ses fidèles collaborateurs.

"Conan", le tournant

Après quelques compositions pour la télévision et le marché vidéo (dont Extrême Close-up ou Les Dents d'acier), c'est d'ailleurs John Milius qui, en 1978, lui propose, de signer le score de son troisième long métrage, Graffiti Party. C'est le début d'une fructueuse collaboration entre les deux hommes, qui se retrouveront sur L'Aube rouge (1984), L'Adieu au Roi (1989), Le Vol de l'intruder (1990) et surtout Conan le barbare en 1982. Monument de l'héroïc-fantasy, le long métrage séduit autant par sa mise en scène et son interprète principal Arnold Schwarzenegger que par sa bande originale. Une musique qui vaut à Basil Poledouris une nomination aux Saturn Awards.

De "La Chair et le sang" à "Starship Troopers"

En 1980, le compositeur travaille avec un autre de ses camarades d'université, Randal Kleiser, sur Le Lagon Bleu. Suivront Summer lovers (1982), Croc-Blanc (1991) et It's My Party (1996). En 1985, après avoir mis en musique les nouvelles aventures du guerrier cimmérien (Conan le destructeur), Basil Poledouris croise le chemin de Paul Verhoeven, qui lui confie le score de son film moyenâgeux La Chair et le sang, puis celles, devenues cultes auprès des amateurs de BOF, de Robocop (1987) et de Starship Troopers (1997). Au cours d'une carrière inégale, oscillant entre quelques films majeurs et productions moins "glorieuses" et ponctuée par un Emmy Award en 1989 pour son travail sur la mini-série Lonesome Dove, Poledouris travaillera avec un autre maître du cinéma d'action, John McTiernan, sur A la poursuite d'Octobre rouge (1990).

Compositeur pour les Jeux Olympiques

A mettre également au crédit de ce compositeur méconnu du grand public mais plébiscité par les amateurs de SF, de fantastique et d'action pour ses scores amples et épiques : Monsieur Quigley l'Australien (1991), Retour au Lagon Bleu (id.), Hot shots ! 2 (1993), Sauvez Willy (id.), Lassie (1994), Serial Mother (id.), Le Livre de la jungle (id.), Breakdown (1997), Les Misérables (1998), Mickey les yeux bleus (1999), Pour l'amour du jeu (id.), Cecil B. Demented (2000) ou Crocodile Dundee III (2001). En 1996, Basil Poledouris a également composé la musique de l'une des séquences de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques d'Atlanta, The Tradition of the Games.

Yoann Sardet avec Reuters

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18394626.html

Ho non ...

Je vais me repasser la BO de Conan tient ...

RIP ...

J'men fous personnellement.

Mais merde ! Apres Anne Lewis c'est Pouledoris !
Pais a leurs ames...

Putai, j'adore le thème de "Robocop"...

mr jack a écrit:

J'men fous personnellement.

Et nous, on s'en fout que tu t'en foutes.

J'men fous que vous vous en foutiez que je m'en foute.

Et nous, on s'en fout que tu t'en foutes qu'on s'en foute que tu t'en foutes.


Deux tristes nouvelles.


La comédienne Adrienne Shelly assassinée

Célébrités - vendredi 10 novembre 2006

Actrice-fétiche du cinéaste Hal Hartley, la comédienne américaine Adrienne Shelly est morte assassinée le 1er novembre dernier. Mardi, un jeune homme de 19 ans a avoué être l'auteur du crime.



L'Incroyable vérité : on ne saurait mieux dire en effet à propos de l'annonce du décès, dans des circonstances particulièrement atroces, de la comédienne Adrienne Shelly, à l'âge de 40 ans.
Le 1er novembre, son mari découvre son corps sans vie, pendu dans la douche de la salle de bains de leur domicile de Manhattan.
Et mardi dernier, un ouvrier de 19 ans avoue à la police être l'auteur de ce crime maquillé en suicide (la présence d'empreintes de pas qui n'étaient pas ceux de l'actrice avait mis la puce à l'oreille des enquêteurs).
Le jeune homme, qui faisait des travaux de rénovation dans l'appartement situé juste en-dessous de celui de Shelly, a expliqué s'être battu avec la comédienne, qui se plaignait du bruit et menaçait d'appeler la police.
Il a été conclu que la victime n'est pas décédée à la suite de coups, mais d'une strangulation ("compression to the neck").

Adrienne Shelly était peu connue du grand public, mais ceux qui avaient été séduits au début des années 90 par les films inventifs de Hal Hartley, en particulier L'Incroyable vérité et Trust Me, se souviennent forcément de cette rouquine aux faux airs de Rosanna Arquette.
Le charme des films du cinéaste new-yorkais reposait en partie sur la fraîcheur de ses jeunes acteurs, l'ingénuité de Shelly, parfois chaussée de lunettes d'étudiante, se mariant à merveille avec l'ironie de Martin Donovan, autre comédien-fétiche d'Hartley.
Un peu perdue de vue ces dernières années, elle avait participé à des séries (Oz, New York District) et était passée derrière la caméra (elle venait d'ailleurs d'achever le tournage de son troisième long métrage, Waitress).
Fidèle au cinéma indépendant, elle était apparue l'an dernier aux côtés de Matt Dillon-Bukowski dans Factotum.

Julien Dokhan avec The Guardian

Lien Allociné


Un géant nous quitte...


Décès du comédien Jack Palance

Célébrités - samedi 11 novembre 2006

L'acteur Jack Palance, "gueule" du cinéma américain, vu chez Aldrich, Richard Brooks ou Godard, et oscarisé en 1991, est décédé ce vendredi à l'âge de 87 ans.



On range les couteaux.
Le comédien américain Jack Palance s'est éteint ce vendredi en Californie à l'âge de 87 ans -"de mort naturelle", précise un porte-parole.
Son physique imposant et son visage émacié, refait après des blessures pendant la seconde Guerre Mondiale, avaient fait de cet acteur habitué aux rôles de méchant une des "gueules" du cinéma américain.
Tardivement primé par un Oscar du Meilleur second rôle pour La vie, l'amour, les vaches, il avait tourné avec Aldrich, Douglas Sirk, Richard Brooks, mais aussi Godard ou Tim Burton, au cours d'une carrière qui couvre un demi-siècle.

Doublure de Brando

Né le 18 février 1919 en Pennsylvanie, Walter Palahnuik (son vrai nom) est issu d'une famille de modestes émigrants ukrainiens.
Après avoir été sur les planches la doublure de Marlon Brando dans Un tramway nommé désir, Jack se lance en 1950, tournant cette année-là ses deux premiers films, Okinawa et Panique dans la rue, dans lesquels il donne la réplique à Richard Widmark.
Le Masque arraché (1952) et L'Homme des vallées perdues (1953) le consacrent.
Il s'impose en tant que méchant de service, le roi du sadisme façon Hollywood.
Il devient un habitué des westerns comme Le Sorcier du Rio Grande (1953).
Il excelle dans les péplums comme avec Le Signe du païen (1954) où il interprète Attila.
En 1955, il campe un comédien alcoolique dans Le Grand couteau de Robert Aldrich, cinéaste qui lui offre l'année suivante un rôle marquant, celui d'un valeureux soldat dans Attaque.
En 1962, il tourne avec Richard Fleischer dans Barabbas.

Godard et Delon

A partir des années 60, il part travailler en Europe.
Sur le vieux continent, il reprend les personnages qui ont fait sa renommée Outre-Atlantique.
C'est ainsi qu'il se glisse à nouveau dans la peau d'un chef barbare dans Les Mongols (1961) ou Le Glaive du conquérant (1961).
Il tourne aussi avec de grands cinéastes tels que Jean-Luc Godard dans Le Mépris de 1963 ou Abel Gance sur Austerlitz.
Il se frotte aux films de guerre comme La Derniere attaque (1961) et La Légion des damnés (1969).
On le retrouve dans le western italien où il est capable du meilleur (Le Mercenaire) comme du pire (Amigo...Mon colt a deux mots à te dire).
En 1965, Alain Delon est son partenaire dans Les Tueurs de San Francisco.

Un "professionnel"

En 1966, grâce au film Les Professionnels, les studios hollywoodiens refont plus souvent appel à lui.
Jack Palance explore aussi le genre fantastique avec Le Jardin des tortures (1967).
Il s'essaye aux films dit de "cinéma bis", des films européens qui reprennent toutes les ficelles des productions hollywoodiennes, comme Companeros (1970) de Sergio Corbucci.
Il tourne dans les derniers soubresauts du western comme Monte Walsh (1970) et Or noir de l'Oklahoma (1973).
Dracula et ses femmes vampires est aussi un des films notables de sa filmographie.
A l'origine c'est un téléfilm, mais il remporte un tel succès aux Etats-Unis qu'il sortira en salle.

Un premier Oscar à 72 ans

Bien qu'il continue de participer à de nombreux films, sa carrière connaît un ralentissement dans les années 70.
Bagdad Café (1988) lui permet de faire un retour sous les feux de l'actualité.
Il s'engage avec la nouvelle génération des westerns comme Young guns.
Enfin, il est choisi pour Batman (1989) de Tim Burton.
Hommage symbolique à son parcours de méchant, il interprète le père adoptif du Joker.
Son Oscar du Meilleur second rôle (après deux nominations en 1953 et 1954) pour La vie, l'amour, les vaches (1990) couronne à la fois sa performance et sa prolifique carrière.
Si son dernier film remonte à 1999 (Treasure island), il avait depuis tourné dans une poignée de téléfilms, le dernier étant Back When We Were Grownups avec Faye Dunaway en 2004.

La rédaction d'Allociné avec Afp

Lien Allociné

Le cinéma français perd Francis Girod

Le cinéaste Francis Girod, 61 ans, est mort à la suite d'un malaise cardiaque dans la nuit de samedi à dimanche à Bordeaux.

Membre de l'Académie des Beaux-Arts depuis 2002, il avait entre autres réalisé La Banquière avec Romy Schneider (1980), Le bon plaisir avec Catherine Deneuve et Jean-Louis Trintignant (1984), Passage à l'acte (1995), Terminale (1997) ou encore Mauvais genres (2001).

Les débuts aux côtés de Vadim et Mocky

Un temps journaliste au Nouvel Observateur et à l'ORTF (1964-1966), Francis Girod avait débuté dans le cinéma dans les années 1960 comme assistant de réalisateurs comme Roger Vadim ou Jean-Pierre Mocky. Il avait réalisé son premier film, Le trio infernal, avec Michel Piccoli et Romy Schneider, en 1974. Non conformiste, il devait réaliser aussi de nombreux films publicitaires et des documentaires.

Dans les années 1990, il était passé devant la caméra, Bertrand Tavernier lui réservant un rôle dans L627 aux côtés d'Yves Montand. Deux de ses films étaient à l'affiche cette année : Un ami parfait, avec Antoine de Caunes et Carole Bouquet, et l'Oncle de Russie, avec Claude Brasseur et Marie-Josée Nat.

Egalement producteur et scénariste ou co-scénariste de la plupart de ses films, Francis Girod était très impliqué dans le monde du cinéma français. Il avait présidé en 1988-1989 la Société des réalisateurs de films, ainsi que la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) en 2005-2006 et était membre du conseil d'administration de la Cinémathèque française.