Critique largement charcutée, mais c'est quand même la classe.
The Dude Lie Lie Lie
Nombre de messages : 1807 Age : 43 Localisation : Le monde des Petits Poneys (c'est plus correct que DTC...) Emploi : Doseur de White Russian Loisirs : Boire des White Russians et jouer au bowling en étant bourré (au White Russian) Connarditude : 0 Date d'inscription : 22/11/2006
Bah je préfère dire ce que j'en ai réellement pensé, plutôt que servir la soupe comme Studio ou Première. Je dois êtes un tout petit peu intègre en fait. Un ratage, c'est un ratage.
Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
Nombre de messages : 18895 Age : 33 Localisation : ¡Que si! Emploi : ¡Que no! Loisirs : ¡Qu- BANG! Connarditude : 128 Date d'inscription : 07/03/2006
Vous m'étonnez quand même. Pourquoi un avis serait forcément positif. Je n'ai pas apprécié le film, je le dis. Je trouve ça normal. Et c'est UN avis. Pas l'avis de toute la population qui l'a vu. J'ai déjà lu des avis très positifs, outre celui d'Erwan Desbois. Alors attendez-vous peut-être à l'aimer.
The Dude Lie Lie Lie
Nombre de messages : 1807 Age : 43 Localisation : Le monde des Petits Poneys (c'est plus correct que DTC...) Emploi : Doseur de White Russian Loisirs : Boire des White Russians et jouer au bowling en étant bourré (au White Russian) Connarditude : 0 Date d'inscription : 22/11/2006
Me suis un peu emporté, mais je ne comprends pas certaines réactions quand on descend un film attendu. Je dis ce que je pense, et en l'occurrence, je n'ai pas aimé. Mais rien ne dit que ce film ne sera pas adulé par les nerds comme Mr.Movie.
Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
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Mais rien ne dit que ce film ne sera pas adulé par les nerds comme Mr.Movie.
Je me demande... On verra. Jusqu'alors, j'aime bien le ciné de Danny Boyle, capable du meilleur (Trainspotting) comme du moins bon (La Plage)... Mais j'ai pas vu "Une vie moins ordinaire"...
Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
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Après une légère absence dans nos salles, Danny Boyle (Trainspotting, 28 Jours plus tard) nous revient avec un film de S-F pour le moins... étrange.
Durant 1h45 (temps qui paraitrait presque court) , nous suivons le parcours mouvementé d'une équipe de 8 astronautes qui naviguent dans le vide infini depuis déja plusieurs mois, avec une bombe quasi-destructrice au bout de leur vaisseau spatial, qui devrait fusioner voire même remplacer notre Soleil qui se fatigue. Pour quel but me demandez-vous ? Malheureux ! C'est pour sauver l'humanitée bien sur ! Mais, (prévisible) rien de ce qui était enregistré dans la mission ne se passera comme prévu...
Alex Garland, déja scénariste de "28 Jours plus tard", signe un scénario certes efficace en apparence - rarement vu un film proposant une descente aussi terrifiante dans la claustrophobie et la folie - mais malheureusement parsemés de détails inutiles, et de scènes mal abordées...
Scènes que l'ensemble des 8 (euh...9) interprètes tenteront tant bien que mal à sauver, malgré un manque cruel d'émotions de la part des rôles principaux, particulièrement Michelle Yeoh et le parfois inquiétant/parfois déprimant Cillian Murphy. Et c'est dans cette mascarade qu'évolue nos personnages, qui en quelques heures verront leurs destins a jamais changer et traumatiser, risquant l'inéluctable mort à chaque endroit de ce piège si grand et solitaire qu'est l'Espace.
Et la ou le film fait fort, ou l'on est finalement scotchés à notre écran du début à la fin, c'est par la force de la mise en scène de Boyle, parfaite pour ce qui est de creer des ambiances éclatantes et futuristes à la "2001 L'Odyssée de l'espace" et des ambiances sombres et inquiétantes à la "Alien" (Les comparaisons sont inévitables !). La camera bouge dans tout les sens, les images subliminales fusent, les lumières s'allument et s'éteignent... On a mal aux yeux, mais impossible de détourner ceux-ci, tellement le resultat est visuellement impressionant.
A mi chemin entre la Réussite et la déception, "Sunshine" est plus sauvé par l'indéniable sens de la peur divulguée par Boyle et par les magnifiques décors spatiaux que par un casting ou se mèle pourtant talent et impassibilitée. Magnifique sur la forme, peu remplit dans le fond, le film tient pourtant son engagement et séduit le spectateur !
Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Nombre de messages : 40402 Age : 18 Localisation : Chez ma mère Emploi : LOL Connarditude : 9998 Date d'inscription : 12/08/2005
Je ne donnerai pas de critique développée et argumentée (j'entends Badou râler) car je ne ferais que de la répétition. Je dirai juste que la vision de Sunshine procure un plaisir réel, plaisir qui montre que après BSG, La guerre des Mondes et Les fils de l'Homme, la SF prend un nouveau chemin diablement excitant sur la condition de l'Homme.
Métaphysique, subtil, scientifique, Sunshine est aussi l'interpréation religieuse du mythe d'Icare (cf le nom des vaisseaux) ou quand les Hommes qui volent trop près du Soleil risquent de brûler leurs ailes, leurs rêves... et leur raison.
Un gros CdG par contre aux tics épileptiques de Boyle. Toujours aussi énervants !
9/10
Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
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Nombre de messages : 4072 Age : 36 Localisation : Une ville à base de Cuire Emploi : au Pôle Loisirs : zir Connarditude : -21 Date d'inscription : 08/02/2007
pas du tout, Mr Movie a quasiment le même avis que toi
Despe Chuck Norris addict
Nombre de messages : 5169 Age : 42 Localisation : Dans un saladier Emploi : aeroport de nice 2 min d'arret Loisirs : poster bourrée Connarditude : 0 Date d'inscription : 23/03/2006
Beaucoup aimé les acteurs, beaucoup aimé l'intrigue, pas du tout aimé la mise en scene et puis
Spoiler:
Moi pas comprendre comment des astronautes peuvent aller si loin dans l'espace sans que ceci soit plus "futuriste" que ca
Alien n'était pas si futuriste que ça non plus ma ptite dame.
Despe Chuck Norris addict
Nombre de messages : 5169 Age : 42 Localisation : Dans un saladier Emploi : aeroport de nice 2 min d'arret Loisirs : poster bourrée Connarditude : 0 Date d'inscription : 23/03/2006
Glop ça veut dire que tu as aimé... pourtant ta critique fait ressentir le contraire..
Mr.Movie dans sa critique a écrit:
peu remplit dans le fond
Au contraire, le film de Danny Boyle ouvre des tonnes de thèmes et se révèle extrêment intéressant et surprenant : la religion, la science, la condition humaine par rapport à la religion, la peur et l'attraction de la mort, la culpabilité ...
Sinon (GROS GROS SPOILER)
Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
Nombre de messages : 18895 Age : 33 Localisation : ¡Que si! Emploi : ¡Que no! Loisirs : ¡Qu- BANG! Connarditude : 128 Date d'inscription : 07/03/2006
Bon je viens de le voir (en Blu-Ray, est-il utile de préciser que ça déchire? ) et j'ai bien aimé. Le scénario est selon moi peu important (de toute façon pas terrible et absolument pas crédible, s'approcher du Soleil avec un bouclier de miroirs d'aussi près est utopique) mais il est l'excuse toute trouvée à des débordements psychologiques "solariens" que j'aime beaucoup. Avec en plus un fraking d'univers visuel vraiment intéressant, et une musique qui remplit parfaitement son office de "maximiseur" d'ambiance, on a au final un film sympatique auquel il manque essentiellement un scénario plus original et plus travaillé. Et bon point pour les acteurs, tout spécialement Cillian murphy.
7/10.
J'aime ta mère Intermittent du spectacle
Nombre de messages : 4072 Age : 36 Localisation : Une ville à base de Cuire Emploi : au Pôle Loisirs : zir Connarditude : -21 Date d'inscription : 08/02/2007
J'ai vraiment vraiment beaucoup aimé ! Des acteurs charismatiques et parfaits dans leur rôle ( Fraking y a quand même Chris Evans...) J'adore le personnage du docteur. D'ailleurs tous sont très bien écrits et esquissés sans que cela soit trop évident dans les dialogues ou les actions: le relation Capa/Miles est à ce titre plus ambigüe qu'il n'y parait. L'aspect visuel est dantesque, rarement vu un film aussi beau (malgré ma petite télé). J'aurai adoré le voir au cinéma ! La fin du film est un peu plus brouillone, notament avec l'arrivé du "méchant" et sur le discours de la religion où j'ai pas franchement tout saisie (ça me fait penser à la scéne de l'architecte de Matrix Reloaded où les images (tout les écrans de télévisions) prennent le pas sur le discours) Je reverrais le film sans doute dans les prochains mois, pour me faire une meilleure idée de la fin, et du discours religieux et christique du fim.