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| | Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) | |
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Auteur | Message |
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Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 0:59 | |
| - Faddman a écrit:
- Lu quelque part :
- Spoiler:
- Citation :
- Dès le début, on peut constater que Nina a des problèmes psychologiques, bien avant d'obtenir son rôle de "Swan Queen" (Reine des Cygnes). Pourquoi ?
Elle est supposée avoir la vingtaine mais elle agit comme une petite fille en la présence de sa mère, elle utilise des mots enfantins et possède une chambre avec beaucoup de peluches. Lorsque Nina rentre chez elle après avoir su qu'elle a eu son rôle, on peut voir que la lèvre inférieure de la mère est légèrement coupée. Comme celle de Thomas (le directeur). Rappelez-vous, il a tenté d'embrasser Nina et elle l'a mordu. Ce serait-il passé la même chose avec sa mère ?
La scène du gâteau : La mère achète un gâteau pour féliciter sa fille mais elle n'en veut pas. Elle est furieuse (je ne pense que ce soit une réaction très normale) donc Nina accepte d'en prendre un peu même si on voit qu'elle n'en a vraiment pas envie et se met à lécher le doigt de sa mère couvert de gâteau. On voit que la mère veut absolument prendre le pouvoir sur sa fille et que celle-ci refuse de faire quelque chose qui énerverait sa mère.
À un moment, Nina barricade sa chambre et on entend sa mère dire : "Are you ready for me ?" (Oui j'ai vu le film en anglais aha). Qu'est-ce qu'elle voulait dire par là ? Et pourquoi Nina voulait elle barricader sa chambre à ce moment là ? Après qu'elles soient allées en boîte et aient pris de l'ecstasy, Nina et Lily (sa "rivale") rentrent chez elle et Lily lui fait un cunnilingus. Après ça, Lily lui dit "Sweet girl". Or, la mère appelle sa fille comme ça TOUT LE LONG DU FILM. Le lendemain, on apprend que Lily n'est jamais allée dans sa chambre, que Nina avait sûrement fait un rêve. Était-ce un rêve ? Ou peut-être que ça s'est réellement passé. Mais la partenaire était différente.
À la fin, avant de se suicider et de mourir sur scène, la dernière personne que Nina regarde est sa mère.
J'ai lu des témoignages de filles ayant été abusées par leurs mères et qui ont visionné le film Elles s'identifiaient énormément à Nina, elles étaient perfectionnistes et se sentaient mal dans leur peau, se détestaient etc.
Merci pour le point de vue assez intéressant. L'idée d'une relation incestueuse entre Nina et sa mère m'était passé dans l'esprit sans pour autant m'y accrocher, mais avec les exemples donnés ici, ça constitue de bonnes preuves. Je crois que je serais capable d'aller re-revoir le film dans la semaine juste pour étudier ces deux personnages. | |
| | | Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Nombre de messages : 40402 Age : 17 Localisation : Chez ma mère Emploi : LOL Connarditude : 9998 Date d'inscription : 12/08/2005
| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 7:48 | |
| - John Fitgerald Willis a écrit:
- Bad Taste a écrit:
- Attendez, je cherche d'autres clichés...
C'est "thématiques universelles" qu'il faut dire maintenant.... D'accord Monsieur. - Faddman a écrit:
- Lu quelque part :
- Spoiler:
Dès le début, on peut constater que Nina a des problèmes psychologiques, bien avant d'obtenir son rôle de "Swan Queen" (Reine des Cygnes). Pourquoi ? Elle est supposée avoir la vingtaine mais elle agit comme une petite fille en la présence de sa mère, elle utilise des mots enfantins et possède une chambre avec beaucoup de peluches. Lorsque Nina rentre chez elle après avoir su qu'elle a eu son rôle, on peut voir que la lèvre inférieure de la mère est légèrement coupée. Comme celle de Thomas (le directeur). Rappelez-vous, il a tenté d'embrasser Nina et elle l'a mordu. Ce serait-il passé la même chose avec sa mère ?
La scène du gâteau : La mère achète un gâteau pour féliciter sa fille mais elle n'en veut pas. Elle est furieuse (je ne pense que ce soit une réaction très normale) donc Nina accepte d'en prendre un peu même si on voit qu'elle n'en a vraiment pas envie et se met à lécher le doigt de sa mère couvert de gâteau. On voit que la mère veut absolument prendre le pouvoir sur sa fille et que celle-ci refuse de faire quelque chose qui énerverait sa mère.
À un moment, Nina barricade sa chambre et on entend sa mère dire : "Are you ready for me ?" (Oui j'ai vu le film en anglais aha). Qu'est-ce qu'elle voulait dire par là ? Et pourquoi Nina voulait elle barricader sa chambre à ce moment là ? Après qu'elles soient allées en boîte et aient pris de l'ecstasy, Nina et Lily (sa "rivale") rentrent chez elle et Lily lui fait un cunnilingus. Après ça, Lily lui dit "Sweet girl". Or, la mère appelle sa fille comme ça TOUT LE LONG DU FILM. Le lendemain, on apprend que Lily n'est jamais allée dans sa chambre, que Nina avait sûrement fait un rêve. Était-ce un rêve ? Ou peut-être que ça s'est réellement passé. Mais la partenaire était différente.
À la fin, avant de se suicider et de mourir sur scène, la dernière personne que Nina regarde est sa mère.
J'ai lu des témoignages de filles ayant été abusées par leurs mères et qui ont visionné le film Elles s'identifiaient énormément à Nina, elles étaient perfectionnistes et se sentaient mal dans leur peau, se détestaient etc.
Intéressant, même si c'est écrit n'importe comment. Je n'avais pas envisagé cet aspect l'histoire. Ça me semble très plausible. - Youn a écrit:
- Bad a écrit:
- Le Double étant l'un des sujets fondamentaux du flim, il fallait souligner jusqu'à la fin, et régulièrement pendant le métrage.
Ben euh... non. Le problème aujourd'hui au cinéma, c'est que le public aime être mené en bateau. Donnez-lui trop tôt la réponse au sujet d'une révélation qui aurait pu arriver à la fin, et il va lancer : "Waaaaa! Trop naze le réal, j'avais tout deviné dés le début !". Ou bien, insistez sur l'une des thématiques (universelles, ou pas ) du flim, et on va lui balancer à la gueule qu'il en fait trop, qu'il insiste trop sur un sujet qu'il est inutile de rabâcher. Aronofsky ne fait qu'utiliser l'un des sujets du flim pour l'illustrer de toutes les manières possibles. Il insiste sur le sujet de la folie pour nous proposer la scène du cunnilingus, avec le tatouage de Lily qui "prend vie", la scène du métro, celle de la boîte de nuit, les scènes de danse pendant lesquelles Nina croit voir ou ressentir des choses qui n'existent pas, la scène de l'hôpital... Rabâcher, c'est aussi raconter de plusieurs manières différentes un même sujet. On peut voir dans cette succession de scènes, la répétition du grand final. Tout comme Nina répète pour la représentation du Lac des cygnes, Aronofsky répète pendant tout le flim pour nous préparer au dernier quart d'heure. | |
| | | Youn Of hosuey en plus
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 10:18 | |
| Un magicien est un artiste qui te montre son truc et pourtant tu ne parviens pas à le deviner. Tu as beau chercher, tu ne trouves pas ce qui est devant tes yeux. Je vais prendre trois exemples de films pendant lesquels le magicien te dis pleins de trucs, mais le spectateur ne tilte pas.
Sixième Sens où le public est mené en bateau comme tu dis. Pendant tout le film, il y a des indices sur le final du film, sans que le réalisateur ne le rabâche. Sur le dvd, il y a même une interview où il avait peur que le public ne comprenne trop facilement un des indices (indice ultra évident en plus) et pourtant, la plupart n'y voit que du feu.
La guerre des mondes, qui est je le rappelle, un film qui finit mal, contrairement à ce que les gens veulent bien dire. A la fin du film, on te montre une statue d'un révolutionnaire ayant oeuvré pour l'indépendance des USA, entourée de matière alien. Spielberg te montre bien la statue en décomposition totale. Un soldat arrive et dit "It's over". C'est clair non ? Le monde que l'on connait est voué à disparaitre. Et pourtant, le spectateur prendra ça pour "Les aliens sont partis".
Matrix, où on te donne des indices pendant 3 films pour te dire que le monde réel n'est pas le monde réel. Et ce dès la fin de Matrix 1. Et pourtant les gens n'y voient que du feu.
N'y voir que du feu alors que le réalisateur te dit tout, ça c'est berner le spectateur. La réponse peut arriver au premier plan, ça ne doit pas changer la relation Réalisateur/Spectateur. Ca, ce sont des magiciens. Aronofsky pour Black Swan il te fait "Regarde, elle est en blanc et quand Mila Kunis arrive, elle est en noir, t'as vu t'as vu !!!". Une fois ou deux d'accord, si ça peut aider au développement du fond. Mais quand on te ressert que "Nina vit le conte du lac des cygnes" 3 fois, tu te sens pris pour un débile. Voilà. | |
| | | Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Nombre de messages : 40402 Age : 17 Localisation : Chez ma mère Emploi : LOL Connarditude : 9998 Date d'inscription : 12/08/2005
| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 10:29 | |
| Ton raisonnement se tient, mais ce que je ne comprends pas, c'est ce malaise ambiant à forcément trouver "mauvais" (c'est une façon de parler, je sais que tu trouves des qualités au flim) un flim qui dit tout frontalement. Pourquoi, parce que l'on devine la finalité d'une œuvre, celle-ci devrait être moins bonne qu'une œuvre qui ne se dévoile qu'à la fin ? Prenons un exemple récent. Dans Pour elle de Fred Cavayé, on apprend en milieu de métrage si Diane Kruger est coupable ou innocente. Vincent Lindon ne sait jamais si sa femme est effectivement coupable ou innocente, mais le flim va tout de même au bout de son sujet. Le fait de dévoiler le pot au rose si tôt dans le flim en fait-il un mauvais flim ? Non. Car c'est un choix de la part du cinéaste de dévoiler l'un des secrets du flim si tôt. En fait, je crois que la mode du twist a tué une partie de la magie du cinéma. Avant Sixième sens, l'usage du twist était plus alambiqué, plus épars ( Usual suspects est un bon exemple qui fonctionne sur un twist ultra travaillé, qui fait prendre au flim un autre sens une fois qu'on l'a vu une première fois). Pareil dans Matrix, l'existence du monde réel est amené assez vite dans le flim. Je pense que l'on voit trop dans Black swan un flim à twist (raté, puisque l'on comprend vite où Aro veut en venir), et pas assez un flim sur l'épanouissement d'une femme, évoluant dans le monde des ballets. - Youn a écrit:
- Un magicien est un artiste qui te montre son truc
Non, on appelle ça un pervers, coquin. | |
| | | Youn Of hosuey en plus
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 10:46 | |
| - Citation :
- Dans Pour elle de Fred Cavayé, on apprend en milieu de métrage si Diane Kruger est coupable ou innocente.
Vincent Lindon ne sait jamais si sa femme est effectivement coupable ou innocente, mais le flim va tout de même au bout de son sujet. Le fait de dévoiler le pot au rose si tôt dans le flim en fait-il un mauvais flim ? Non. Car c'est un choix de la part du cinéaste de dévoiler l'un des secrets du flim si tôt. Justement je trouve que c'est la mauvaise idée du métrage, nous forçant à adhérer à la "mission" que s'est fixée Lindon. - Citation :
- Ton raisonnement se tient, mais ce que je ne comprends pas, c'est ce malaise ambiant à forcément trouver "mauvais" (c'est une façon de parler, je sais que tu trouves des qualités au flim) un flim qui dit tout frontalement.
Pourquoi, parce que l'on devine la finalité d'une œuvre, celle-ci devrait être moins bonne qu'une œuvre qui ne se dévoile qu'à la fin ? Comme je le disais plus haut, les exemples disent tout frontalement et pas forcément à la fin. Seulement les trois réalisateurs ont de la subtilité, l'autre ressemble à un éléphant qui se prend pour un papillon. | |
| | | Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Nombre de messages : 40402 Age : 17 Localisation : Chez ma mère Emploi : LOL Connarditude : 9998 Date d'inscription : 12/08/2005
| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 10:58 | |
| SPOILERS. - Youn a écrit:
- Justement je trouve que c'est la mauvaise idée du métrage, nous forçant à adhérer à la "mission" que s'est fixée Lindon.
Le spectateur sait que Diane Kruger n'est pas coupable. Pas Vincent Lindon. Ce qui fait qu'on assiste à la mission d'un homme qui sauve sa femme, même si elle est coupable. C'est rare les flims dans lesquels le spectateur en sait plus que les personnages, jusqu'à la fin. - Youn a écrit:
- Comme je le disais plus haut, les exemples disent tout frontalement et pas forcément à la fin. Seulement les trois réalisateurs ont de la subtilité, l'autre ressemble à un éléphant qui se prend pour un papillon.
Je trouve la démarche d'Aronofsky plus pachydermique dans The fountain que dans The wrestler ou Black swan. Mais je me doute que tu ne seras pas d'accord. | |
| | | Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Nombre de messages : 40402 Age : 17 Localisation : Chez ma mère Emploi : LOL Connarditude : 9998 Date d'inscription : 12/08/2005
| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 11:07 | |
| Hier soir, j'ai continué à avancer dans Buffy et Angel. L'un des épisodes de la saison 3 d' Angel se déroule dans les coulisses du ballet Giselle ( Les Coulisses de l'éternité - 313). Pendant un moment, j'ai cru voir le même genre de thématiques que dans Black swan, mais il n'en est rien. Cependant, on y retrouve le thème de la folie liée au ballet. A croire que la folie est un thème qui sied bien à l'univers du ballet. Et devinez qui fait une apparition dans cet épisode (ça devrait plaire à Ash) ? - Spoiler:
| |
| | | John Fitgerald Willis Ignominie malaisante à un degré difficilement concevable
Nombre de messages : 6359 Age : 41 Localisation : Tout à fait Emploi : Gné ? Loisirs : La chasse aux bébés phoques Connarditude : -69 Date d'inscription : 09/04/2008
| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 11:16 | |
| Le mieux c'est quand même les films tellement subtils que même le réal ne les comprends pas, genre E.T. Heureusement qu'il y a Youn pour venir nous éclairer et nous dire quelle est le vraie signification des films, parce que si on devait se baser sur notre propre analyse ça serait n'importe quoi... | |
| | | Youn Of hosuey en plus
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| | | | Faddman http://www.rickrolled.fr/
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 11:41 | |
| - Spoiler:
J'arrive 3 ans plus tard dans le débat mais quand même, y'a des choses qui me font réagir. Sans chercher à trouver 50 000 déroulements narratifs possibles débouchant sur un twist, je dirais que concrètement t'es quand même forcément sur le popotin quant tu découvres que Nina s'est poignardée. Ca va pas chercher plus loin. Dans ma salle, pendant la dernière demie-heure, tout le monde gigotait parce que tout était indécis. Vient la scène où Nina voit sa blessure et sbam, gros silence, ambiance morbide. C'est simple et efficace. Ensuite sur la question du thème de l'inspiration. Pour bosser ce thème depuis plus de deux ans (et autant dire que je commence à saturer là ), je peux affirmer que c'est la boîte de Pandore. Si on se penche un minimum sur chaque film, chaque livre, chaque musique, chaque peinture, on se tire une balle. Parce qu'on s'aperçoit que rien n'est original, que tout est lié. L'intertextualité (enfin, l'interfilmité quoi ) est partout. Y'a pas UN film qui ne doivent pas quelque chose à quelqu'un. D'ailleurs, je mets ici le sujet d'une dissertation que j'ai eu à faire et qui était très intéressante. Il s'agit du citation de Chateaubriand : " L'écrivain original n'est pas celui qui n'imite personne, mais celui que personne ne peut imiter". A méditer
Dernière édition par Faddman le Dim 6 Mar 2011 - 13:58, édité 1 fois | |
| | | Mighty-Forest You Spin Me Round (Like a Record)
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 12:10 | |
| Heu, ça manque de balise spoiler, non ? Enfin, c'est pas comme si j'avais méga envie de le voir non plus, mais bon... | |
| | | Faddman http://www.rickrolled.fr/
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 13:59 | |
| Mea culpa J'avais l'impression que seuls ceux qui l'ont vu viennent ici, c'est pour ça | |
| | | Mighty-Forest You Spin Me Round (Like a Record)
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Dim 6 Mar 2011 - 15:22 | |
| Ha non, je lis tout moi, mon bon môssieur | |
| | | Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
Nombre de messages : 18895 Age : 32 Localisation : ¡Que si! Emploi : ¡Que no! Loisirs : ¡Qu- BANG! Connarditude : 128 Date d'inscription : 07/03/2006
| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Sam 26 Mar 2011 - 4:05 | |
| Je ne sais plus qui sortait l'argument du "Natalie Portman elle danse pas dans ce film donc elle ne mérite pas l'Oscar rogntudjuuuuu" mais il devrait être content... | |
| | | Faddman http://www.rickrolled.fr/
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| | | | Maxwell Midinette
Nombre de messages : 5177 Age : 38 Connarditude : 8 Date d'inscription : 16/09/2008
| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Sam 26 Mar 2011 - 20:31 | |
| On s'en doutait un peu qu'elle n'était pas devenu une ballerine en moins d'un an en même temps. Et puis, en 2008 ça n'était pas Cotillard qui chantait non plus dans la Môme. | |
| | | Faddman http://www.rickrolled.fr/
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) Jeu 31 Mar 2011 - 16:17 | |
| - Citation :
- Le réalisateur du film Darren Aronofsky a également défendu son actrice, chiffres à l'appui : «J'ai demandé à mon équipe de compter les scènes. Sur les 139 scènes de danse, 111 sont faites par Natalie et n'ont pas été retouchées. Sarah Lane en a effectué 28. Cela fait donc 80% des scènes pour Natalie Portman.» Le réalisateur ajoute que les apparitions de la doublure à l'écran ne durent rarement plus d'une seconde.
http://www.lefigaro.fr/cinema/2011/03/29/03002-20110329ARTFIG00658-l-equipe-de-black-swan-defend-natalie-portman.php | |
| | | Ash Un grand must
Nombre de messages : 15367 Age : 35 Connarditude : -14 Date d'inscription : 10/10/2006
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| Sujet: Re: Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) | |
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| | | | Black Swan (Darren Aronofsky - 2010) | |
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