Saga Gremlins (Joe Dante - 1984 & 1990)

Citation :

Le seul mag que j'ai jamais lâché, c'est Mad, que je lis depuis plus de douze ans maintenant.

T'as du voir un sacré changement. J'ai connu la fin d'excellents journalistes et maintenant Mad a bien baissé je trouve : des preview de plus en plus nazes, des journalistes contents si on trouve du gore etc
J'ai relu il y a peu un vieux numéro avec Bordas, Dupuy, Dahan (et Moissakis qui subsiste), Fraking ! Quelle qualité d'écriture !

Mais bon, Mad restera toujours un bon étendard et parlera d'un genre que l'on aime.

Bad Taste a écrit:

Mr.Movie a écrit:

Si on me vole mes répliques en plus !

Tentative de running gag pourri detectée.

Et mince !

J'ai eu la malchance (?) de débarquer dans l'aventure Mad Movies après la prise de pouvoir de Fausto Fasulo, David Doukhan, Laurent Duroche et toute la clique, vous parlez donc d'un temps que je n'ai pas connu (et que j'aimerais connaitre, faudrait que je me renseigne.)

Pourquoi est-ce que Damien Granger est parti d'ailleurs?

Bah j'ai commencé à le lire quand Putters écrivait encore, quand Dahan, Bordas, Bustillo, Lemaire, et avant eux, Guignebert, Allouch et Toullec avaient encore une place de choix.
J'avoue que je ne lisais pas tout, et que je m'attardais beaucoup sur les photos gores et les filles à poil, mais c'est vrai que l'esprit était différent.
C'était beaucoup plus axé sur la déconne sans être vulgos, les longues analyses écrites en tout petit, avec peu de photos, les dossiers de fou, avec des Tops qui voulaient encore dire quelques chose...
J'ai commencé avec le numéro 100, et je crois que ça doit avoir pas mal joué sur mon appréciation du mag ensuite : le numéro 100 est tellement Ultime que c'est difficile de comparer ce qui s'est fait après.
Mais j'aime toujours Mad, même si je suis incapable de te citer la moitié des rédacteurs qui y bossent en ce moment, et leur trouver une véritable personnalité à chacun (sauf Moïssakis, le papy de la bande).

Ash a écrit:

Pourquoi est-ce que Damien Granger est parti d'ailleurs?

Problèmes de coke, vraisemblablement.

Mr.Movie a écrit:

J'ai eu la malchance (?) de débarquer dans l'aventure Mad Movies après la prise de pouvoir de Fausto Fasulo, David Doukhan, Laurent Duroche et toute la clique, vous parlez donc d'un temps que je n'ai pas connu (et que j'aimerais connaitre, faudrait que je me renseigne.)

Ce n'est pas une malchance.
La roue tourne, pour Mad comme pour tout.
Le mag est moins bon qu'avant, mais ça reste une référence, comme le dit le bon Youn.

Fausto n'a pris aucun pouvoir.
Il a été recruté comme n'importe quel rédac-chef: grâce à ses compétences.
Et on ne peut pas dire que la ligne éditoriale de Mad soit dégueulasse.
Graphiquement, ça reste très beau.
C'est le contenu qui laisse parfois à désirer, surtout pour les dossiers et certaines interviews.
Les critiques restent de bonne qualité dans l'ensemble.

Tu touches pas à mon David Doukhan.
David n'est qu'amour et gentillesse.
Faudrait que j'aille lui rendre visite un de ces quatre au MK2 d'ailleurs.
Quand tu rentreras à Paris Youn, ça te dirait d'aller à Movies 2000 et au MK2 Bibliothèque ?

Enfin, le meilleur moyen de te "renseigner" sur le passif de Mad mon cher MM, est encore de commander les anciens numéros.

Bad Taste a écrit:

Enfin, le meilleur moyen de te "renseigner" sur le passif de Mad mon cher MM, est encore de commander les anciens numéros.

Heureusement que mon anniv arrive.

Citation :

Quand tu rentreras à Paris Youn, ça te dirait d'aller à Movies 2000 et au MK2 Bibliothèque ?

Voui pourquoi pas.

Revu Gremlins avec une copine () ce week-end. Ca n'a pas pris un coup de vieux c'est effarant ! L'impact est toujours le même et le film, résultat d'un vrai mélange des genres, et d'une vraie cohésion entre plusieurs talents, atteint la perfection en terme de scénar, de rythme et d'images. J'avais jamais noté consciemment à quel point la mise en tension est énorme, dès que les gremlins font leur apparition. Une griffe, une patte et puis sans prévenir, ils déboulent et nous font sursauter puis rire. C'est rare des films parfaits Ludique, drôle et effrayant.