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Dès que j'ai fini Le grand secret de Barjavel, j'entame ça :

Maxwell sur un autre topic a écrit:

Des souris et des hommes, revisité à la sauce King.
Si on flirte parfois avec le pathos, on s'attache vite à Blaze et l'histoire est haletante.

Comme quoi je dis pas que des conneries.
Le bouquin m'a laissé une bonne impression dans l'ensemble.

Soirée de noël entre potes hier. On avait chacun tiré un nom au hasard et on devait remettre un cadeau à la personne en question. Donc, non seulement la soirée était chouette, mais en plus j'ai reçu ça :

Spoiler:

Han, la classe !

Le petit mot qui allait avec aussi. Ca donnait à peu près ça : "Je sais que tu es passionné par les zombies. J'ai d'ailleurs hésité à t'offrir le dernier disque de Michael Jackson"

On fait ça demain soir nous, avec un méga repas de Noyel

Je voulais terminer mon livre de Barjavel hier dans le train. Seulement, j'avais oublié mon bouquin et je ne m'en suis aperçu qu'après mon départ en RER.
Pas grave, j'ai pensé à mater un film. MEEEEERDE j'ai oublié mon câble de chargement

Résultat j'ai racheté un livre au Relay de la gare :



Et ben la première nouvelle de ce recueil est excellente. On croirait un mix entre Cauchemar à Innsmouth et La chute de la maison Usher de Poe Oo. Vraiment flippant et dépressif

Mighty-Forest a écrit:

Je l'ai depuis des lustres, mais toujours pas lu.
J'attends ton avis gros.

Bad Taste a écrit:

Mighty-Forest a écrit:

Je l'ai depuis des lustres, mais toujours pas lu.
J'attends ton avis gros.

C'est absolument ultime !
Vive les nazis !!

John Fitgerald Willis a écrit:

Vive les nazis !!

Ça a l'air bien !

Et après ça, je deviens membre de la méditation transcendantale.

Youn a écrit:

Je voulais terminer mon livre de Barjavel hier dans le train. Seulement, j'avais oublié mon bouquin et je ne m'en suis aperçu qu'après mon départ en RER.
Pas grave, j'ai pensé à mater un film. MEEEEERDE j'ai oublié mon câble de chargement

Résultat j'ai racheté un livre au Relay de la gare :

Je vais éviter d'en dire trop pour ne pas déflorer le suspens de chaque nouvelle...

* Celui qui garde le ver (Jerusalem's Lot)
Rien à voir avec Salem's lot, si ce n'est le nom de la ville. On croirait un mix entre Cauchemar à Innsmouth et La chute de la maison Usher de Poe Oo. Vraiment flippant et dépressif Une excellente entrée pour ce recueil.

* Poste de nuit (Graveyard Shift)
Pas mauvais. Le principal intérêt de ce récit (comme il arrive souvent au King de le faire), est de faire de son perso principal un gros pourceau. Sinon c'est à base de gros rats qui mangent les gens, c'est rigolo.

* Une sale grippe (Night Surf)
Bof. Ca sent l'auteur qui essaye de raconter un truc métaphysique sur la fin du monde. Mais ça devient très pompeux et inintéressant.

* Comme une passerelle (I Am The Doorway)
Aaaaah ça reprend du poil de la bête. King n'est jamais meilleur que lorsqu'il décrit les souffrances psychologiques et physiques de ses personnages subissant l'indicible. C'est de l'horreur pure et c'est mortel. Ca m'a rappelé un peu "Au delà du réel" par moment.

* La Presseuse (The Mangler)
Euh.... (https://www.youtube.com/watch?v=ogRIPeUfe_A). Faut vraiment avoir une bonne suspension d'incrédulité pour imaginer correctement cette histoire de presseuse possédée et d'exorcisme mécanique. Mais c'est fun

* Le Croque-mitaine (The Boogeyman)
King il sait parler des angoisses d'enfant. Et "l'image" finale est des plus terrifiantes.

* Matière grise (Gray Matter)
Voir *Comme une passerelle

* Petits Soldats (Battleground)
Ah ah ah Un thème rigolo (des petits soldats vivants), une histoire bien fun (le combat d'un tueur contre ces jouets) et ça donne un truc apocalyptique dans une chambre d'hôtel.

* Poids lourds (Trucks)
MAXIMUM OVERDRIVE

* Cours, Jimmy cours (Sometimes They Come Back)
On retrouve ici les thèmes de prédilection de Stephen King dans une nouvelle qui rappelle énormément "ça" : perte du frère, rancoeur, fantômes du passé etc. Et ça marche encore. Mais à quoi carbure-t-il ?

* Le Printemps des baies (Strawberry Spring)
Histoire classique de tueur en série sur un campus. A l'époque, le final de King n'était pas galvaudé.

* La Corniche (The Ledge)
Encore une fois, Stephen King aime les personnages sadiques. Surtout ceux qui font marcher les autres sur des corniches du 30ème étage pour leur soutirer ce qu'ils veulent.

* La Pastorale (The Lawnmower Man)
Je ne sais pas ce qu'il fume, mais j'ai pas envie d'en prendre. Par contre, si vous voulez halluciner complet à propos de jardinier faisant des saut de lapin à poil, en mangeant de l'herbe et en suivant une tondeuse, adressez-vous à l'écrivain. La lecture du récit fut d'autant plus décevante que je pensais qu'il était à l'origine du Cobaye, sorte de "Fleurs pour Algernon" horrifique, qui m'avait terrifié gamin. "La production prétendit que le film était basé sur une nouvelle de Stephen King. Bien que l'écrivain ait bien écrit la nouvelle The Lawnmower Man (titre original du film), son histoire était totalement différente de celle du scénario du Cobaye. King intentera un procès à la production pour que son nom soit retiré de l’affiche. Procès qu’il gagnera." (wiki)

* Désintox, Inc (Quitters, Inc)
Un récit pervers tout droit sorti de Twilight Zone, final compris.

* L'Homme qu'il vous faut (I Know What You Need)
Une jeune fille tombe amoureuse d'un mystérieux homme de son âge. C'est pas mal. Le récit passe de façon très originale vers le thème de la magie noire.

* Le Dernier Barreau de l'échelle (The Last Rung On The Ladder)


* Les Enfants du maïs (Children of the Corn)
Sans doute King a-t-il été influencé par le génial film de Serrador (sorti un an avant). En tout cas, il réussit à s'en démarquer en offrant une dimension bigotte supplémentaire.

* L'Homme qui aimait les fleurs (The Man Who Loved Flowers)

* Un dernier pour la route (One for the Road)
Suite de Salem's lot.

* Chambre 312 (The Woman In The Room)
Ca va pas de finir sur un récit qui peut provoquer une vague de suicides ?!?!

Ça a l'air bien, mais tu t'es trompé de topic .
Et puis c'est "Le Cauchemar d'Innsmouth" .


Sinon, Le Cobaye, j'avais adoré aussi à l'époque, mais je te déconseille de le revoir .

Ah zut, c'est si mauvais que ça Le cobaye ? La gueule du monstre digital m'avait vraiment faite flipper

Et puis je me suis peut-être trompé de topic mais c'était un quote de mon poste précédent ici

Et Ynsmoosse t'pouet.

Youn a écrit:

Ah zut, c'est si mauvais que ça Le cobaye ? La gueule du monstre digital m'avait vraiment faite flipper

C'est pas ultra mauvais, non, mais tu as de grandes chances d'être déçu en le revoyant si tu en gardais un bon souvenir.
Et puis ça a assez mal vieilli.

C'était déjà très mauvais à l'époque Le Cobaye.

Je n'ai jamais lu Danse macabre en entier, mais je garde d'excellents souvenirs de "Petits soldats", "La corniche" et "Desintox, Inc.".
Tu m'as donné envie de le relire, et en entier.
J'te conseille de lire ce très bon article d'Edwood sur l'œuvre de King, de ses débuts avec Carrie, jusqu'à Rêves et Cauchemars en 1993.

J'avais lu La Pastorale en nouvelle séparée bien avant de voir Le Cobaye, d'où les nombreuses déceptions qui ont suivies avec ce film.
Parce que si l'idée était intéressante, pouet, le film a tout de même très mal vieilli.
Mais ça reste sympathique à regarder, avec une certaine nostalgie de l'époque encore balbutiante des effets spéciaux.

Mais enfin non, c'est une purge les mecs.
J'aime bien Jeff Fahey, qui joue le rôle de Jobe dans le flim, mais faut reconnaître qu'il joue comme une brêle.
Et pis Pierce Brosnan en scientifique c'est aussi crédible que disons, Denise Richards également en scientifique, dans Le monde ne suffit pas pour rester dans l'univers de Brosnan le permanenté.
Toute façon, Denise Richards, elle est crédible que quand elle est à poil.

Ouais, mais à un moment Jobe se fait fouetter dans un cabanon en bois et y'a des meurtres à la tondeuse (il me semble), alors c'est regardable quand même .

C'est aussi bien que Johnny Mnemonic, en gros .

Mighty-Forest a écrit:

C'est aussi bien que Johnny Mnemonic, en gros .

C'est pas gentil de se moquer.

Comparons ce qui est comparable.

Johnny Mnemonic
Le Cobaye

Le Cobaye wins.

Salut les geeks.

Et, comme Mightette avait prit un Folio SF aussi, on a eu ça gratos:

Tu me diras ce que tu en penses.


Sinon cadeau de Noël (en retard ) de la part de ma petite soeur :

Je suis un mouton de Panurge.
Mais j'y peux rien, je suis curieux.