Saga James Bond

On Her Majesty's Secret Service (Peter R. Hunt - 1969):

Je ne comprends pas trop l'affection des gens pour cet opus de la saga, souvent cité parmi les meilleurs, si ce n'est le meilleur. Pour le coup j'en attendais peut-être un poil trop, fantasmant une aventure barrée, avec pleins de gadgets tordus et de James Bond girls sexy (bon ok, de ce côté on est servi ), quelques petits bourres pifs et les habituelles petites notes d'humour de l'agent 007. Une sorte de cocktail explosif, un best-of réunissant tous ce qui pouvait charmer dans les précédents films. Mais non,, si ces éléments se croisent au fil de l'histoire, l'aventure reste plutôt banale, voir ennuyante par moment. Seul la relation entre George Lazenby et Diana Rigg vaut vraiment le coup d'oeil, avec pour une fois un traitement plus sombre des amourettes du bonhomme. Pour l'instant mon épisode favori reste clairement You Only Live Twice.

Diamonds Are Forever ( Guy Hamilton - 1971 ):

J'ai bien conscience que cet épisode est loin d'être le meilleur, mais ce mélange de classe et de nawak total m'a captivé. THE James Bond complètement décomplexé du slip pour le moment. Le film enchaine multitudes de séquences plus fun les unes que les autres: baston dans un ascenseur, méchant qui fabrique des clones de lui-même parce que c'est classe, poursuites en bagnoles dans Las Vegas, James Bond Girls sublimes (gaaah Jill St John), et surtout une inénarrable course-poursuite en jeep lunaire! Sean Connery assure le spectacle sans problème, séduit, fait rire, et violente toujours autant les pauvres sbires. Le scénario passe presque au second plan, tant on attend avec un plaisir coupable la prochaine scène qui fera au choix, soit pif paf boum, soit vraaaooouuuhhhhhh vrooummm.
Bond avec un très gros B.

Live and Let Die (Guy Hamilton - 1973):

Je me suis endormi
J'ai réussi à tenir le coup pendant une bonne heure, avant de piquer du nez. Il faut bien avouer que rien n'est là pour enflammer le spectateur, déjà nostalgique de Sean Connery. Parce que là le Roger, il nous fait plus un numéro de dragueur à la Aldo Maccione qu'un espion qui casse des bras à longueur de temps en faisant exploser un peu tout ce qu'il trouve, le tout avec deux petites James Bond Girls qui se trémoussent pour l'encourager. Non là c'est de la drague et de la vanne un peu navrante (surtout parce que Moore a un peu plus une tête de représentant politique que d'agent secret). Alors oui y a bien deux sublimes gonzesses, une course-poursuite (interminable) en bateau, des crocos affamés et pleins de noirs qui complotent parce qu'ils sont diaboliques (c'est assez énorme de voir qu'apparemment toute la population noire de la ville est de mèche . Si la Halde tombe sur le film ils sont mals).
Je la sens pas cette période Roger Moore.

Je jette un œil aux notes laissées à l'époque de mes (re)visions dans le topic du FdM (juillet 2008), et il s'agit du Bond avec Roger Moore auquel j'ai mis la meilleure note (8 pour celui-ici, 7 pour les autres).

Et ça ne peut pas être à cause des James Bond Girls, qui me laissent de marbre.

En fait, je crois que j'aimais bien le fait que tous les méchants soient joués par des noirs.

The Man with the Golden Gun (Guy Hamilton - 1974):

Un des quelques Bond que j'avais déjà vu, il y a fort longtemps, et une nouvelle vision qui vient un peu altérer le bon souvenir que j'en gardais. Je me souviens surtout avoir été fasciné par le repaire du Bad Guy, psychédélique en diable. De même, Christopher Lee et Hervé Villechaize forment un excellent duo de méchants, charismatiques, énigmatiques, diaboliques et pleins d'autres trucs en -iques. Hélas, je trouve que ce sont bien là les seul vrais atouts du film. Manquant d'originalité au point de faire revenir un personnage pas très drôle de l'épisode précédent, L'homme au pistolet d'or ne fait même pas l'effort de proposer des scènes de baston dignes de ce nom. A ce titre, la séquence dans l'Ecole d'Arts Martiaux rivalise sans peine avec les meilleurs films de...Godfrey Ho! Des élèves en Kung-Fu qui se battent comme des adolescents, c'est vrai que c'est pas très spectaculaire. Roger Moore livre en revanche une prestation un peu plus énergique que dans Live and Let Die et arrive un peu à faire oublier l'inconsistance des James Bond Girls qui l'accompagnent. Sympathique pour la confrontation Bond/Scaramanga donc, mais pas très exaltant pour ce qui est du reste.

Pareil que la jeune fille ci-dessus.

Pareil que la jeune fille et le gros ci-dessus.

The Spy Who Loved Me ( Lewis Gilbert - 1977 ):

Petit coup de coeur
Là c'est vraiment le Bond que j'aime, qui marie à merveille classicisme et modernité, sobriété et extravagance, calme et bourrinage. D'accord, le film recycle pas mal d'éléments des 007 précédents (James qui fait du Ski, ou encore James qui se bat dans un train), mais il apporte aussi suffisamment d'idées sympas qui font de cet épisode un vrai petit moment de bonheur, voir un pur plaisir de gosse. Entre les gadgets, les décors exotiques (le passage en Égypte est incroyablement plaisant et rend hommage à tout un pan du cinéma, de l'âge d'or Hollywoodien au cinéma horrifique de la Hammer), le repaire très cartoon du méchant, le personnage de Requin, les jolies filles (Barbara Bach et Caroline Munro dans le même film...du pur génie ), et un Roger Moore des plus convaincant (Live and Let Die semble à présent trèèèèèès loin), The Spy Who Loved Me est un modèle dans le saga Bondienne. Décidément Lewis Gilbert sait y faire, après un You Only Live Twice de très bonne facture .

James Bond se bat contre un train ?

Balaise quand même !

J'ai failli me l'acheter aujourd'hui par ailleurs.
Tu va voir, quand tu va arriver à Octopussy, ça va être bien moins poutrant.

Moonraker (Lewis Gilbert - 1979):

Bof bof.
Pourtant l'idée est sympa et gentiment bis. James Bond dans l'Espace quoi. Sauf que là c'est un peu le monde à l'envers. D'un côté, et après deux excellents 007, Lewis Gilbert livre un film d'une rare mollesse, un comble quand on pense que l'agent secret se rend aux quatre coins du Monde. De l'autre, Roger Moore qui était convaincant dans les derniers épisodes de la franchise revient à son jeu ringard des débuts, dialogues essentiellement à base de vannes à l'appui. Même le méchant Drax semble être incarné par un Michael Lonsdale sous Valium, à tel point que le duel entre les deux hommes devient sans problème l'un des moins prenant de la saga. Reste-t-il au final un seul élément à sauver? Oui, les James Bond Girls. Loin de ne faire que de la figuration (comme dans l'homme au pistolet d'or par exemple), elles rendent au contraire la prestation du pauvre Roger bien fade. J'aimerai bien que 007 soit une femme un jour.

Et puis Requin quand même aussi, non ?

J'aime ta mère a écrit:

Et puis Requin quand même aussi, non ?

Tout à fait !
Requin est un excellent personnage dans ce flim, et en plus, il est accompagné d'une Shark Gril !








Mais il est vrai que c'est un James Bond très faible.

C'est le seul James Bond que j'ai jamais vraiment apprécié gamin

Pourquoi m'appelles-tu "gamin" ?

Elle est nulle ta blague gros.

Les rumeurs continuent pour le prochain épisode de James Bond. Après les James Bond girl qui seraient interprétées par Freida Pinto et Olivia Wilde, c'est un nouvel ajout au casting qui est au centre des rumeurs. Rachel Weisz serait donc l'ennemi jurée de Bond dans ce film. Elle serait celle qui tirerait les ficelles de l'organisation Quantum. L'information est apportée par Cinema Blend comme une rumeur d'une source crédible. La nouvelle mission de Bond devrait être dirigée par Sam Mendes. Les choses seront surement plus sûres, comme pour le film The Hobbit, une fois que les problèmes de la MGM seront réglés.

Source : Ecran Large

Cool
En espérant (si la rumeur se confirme) que son rôle soit un minimum intéressant.
Parce que bon, Olga dans Quantum of Solace elle était pas gâtée

Sam Mendes, Daniel Craig, Javier Bardem, Judi Dench, Ralph Fiennes, Bérénice Marlohe, 26 Octobre 2012.

Mr.Movie a écrit:

Sam Mendes, Daniel Craig, Javier Bardem, Judi Dench, Bérénice Marlohe, 26 Octobre 2012.

Pas de Rachel Weisz par contre...
Encore que je viens d'apprendre qu'elle n'est pas perdu pour tout le monde :
http://www.telegraph.co.uk/culture/film/jamesbond/8599341/James-Bond-star-Daniel-Craig-marries-Rachel-Weisz.html
Je suis jaloux.

Comme je le prévois depuis 2 ou 3 ans, et je ne m'étais pas (re)lancé, je reprends une intégrale des flims produits par EON (+ Casino Royale de 67 et Jamais plus jamais).

Les seuls flims de cette longue saga que je n'ai jamais vus, sont Casino Royale (de 67), Permis de tuer (en tout cas, je n'en ai pas de souvenirs, et je crois m'être arrêté après Tuer n'est pas jouer lors de mon "intégrale" en 2008), et, of course, Mourir peut attendre.
Ainsi que le Casino Royale de 1954 avec Barry Nelson, que j'ai décidé de ne pas incorporer dans cette intégrale, pour plusieurs raisons : c'est un flim "hors-série", même s'il s'agit du premier flim à mettre en scène le personnage, c'est un téléflim, je n'en ai pas de copie, etc.

C'est donc parti pour 24 flims officiels (je ne compte pas le 25ème, à venir en novembre), et 2 flims hors-série.

James Bond 007 contre Dr. No (Terence Young - 1962)

Parce qu'une saga comme James Bond ne s'aborde pas comme n'importe quelle saga/franchise/série de flims, j'ai décidé de reprendre le concept que j'avais utilisé il y a plusieurs années, où je vais noter différent éléments des flims, les uns en fonction des autres.
Avec toutes ces notes attribuées, selon des catégories définies, j'attribuerai une note moyenne globale à chaque flim, sujette à modifications, en fonction de mon avancée dans cette intégrale.

Go !

Mise en scène, Montage, Photo (aspect visuel) : 7/10 - Rien d'extraordinaire, réalisation correcte et discrète.
Scénario : 7/10 - Un peu léger pour de premières aventures au cinéma, mais on ne s'ennuie pas, cependant la menace nucléaire, et la peur qu'elle engendre, est bien présente en 62.
Musique : 6/10 - Hormis le thème, rien d'inoubliable.
Costumes, Coiffures, Maquillages : 8/10 - Les costumes de James sont magnifiques, le bikini d'Honey est une tuerie, Le costume de Dr. No est froid comme la mort, beau boulot pour le reste.
Effets spéciaux : 6/10 - R.A.S.

Bond, James Bond : 10/10 - Sean Connery est parfait. Pour moi l'incarnation idéale du personnage (avec Daniel Craig - je me contredis avec mon moi de 2008, je sais), mais voyons si je change d'avis lors de cette intégrale.
James Bond Girl(s) : 9/10 - Honey Ryder, 10/10 (Ursula Andress) ; Sylvia Trench, 8/10 (Eunice Gayson) ; Miss Taro, 8/10 (Zena Marshall). Rien que pour Honey Ryder, le flim est un incontournable pour ses JB Girls. Et on a rarement fait mieux que l'entrée en scène du personnage dans le flim (au bout d'une heure et 2 minutes !), sortant de l'eau, telle Vénus.
Méchant(s) : 7,2/10 - Dr Julius No (qui apparaît pour la première fois à l'image après une heure et 27 minutes de flim !), le Professeur R.J. Dent, plein de sous-fifres et une tarentule (ou est-ce une mygale ?).
Alliés : 7,25/10 - M, Miss Moneypenny, Felix Leiter et Quarrel. Pour l'instant, les alliés de Bond sont discrets (hormis Quarrel, dont le rôle est assez important et Honey Ryder).

A noter que le flim évite les préjugés raciaux envers les personnages noirs (tout au plus, Quarrel est effrayé par le dragon, et boit pour se donner du courage), alors qu'il utilise de manière incompréhensible deux "yellow faces" du plus mauvais goût : pour Joseph Wiseman qui incarne le Dr. No et Zena Marshall qui incarne Mademoiselle Taro.

Pré-générique : NC - Pas de pré-générique, la scène d'ouverture figure après le générique (qui ouvre le flim, ce qui arrive peu souvent dans la saga).
Générique : 5/10 - Fonctionnel, oubliable. Première apparition des silhouettes, ici, des personnages qui dansent.
Chanson du générique : NC - Pas de chanson, mais le thème de la saga.

Exotisme, Dépaysement, Décors : 9/10 - C'est joli la Jamaïque !
Crédibilité de la menace : 8/10 - En 62, le nucléaire fait peur, le souvenir des bombes atomiques est encore bien présent dans les mémoires, Dr. No a l'air d'avoir un sérieux grain, et en plus, pas de mains, pas de chocolat... aux raisins.
Tension dramatique, Rythme : 6/10 - Un peu mou par moments, tant ma génération est habituée aux pitreries de Roger Moore et aux séquences d'action invraisemblables de la période Pierce Brosnan.
Action, Combats, Courses-poursuites : 6/10 - Idem, en dehors de 2 ou 3 bastons, d'une course-poursuite en voitures un peu molle, et d'un final un peu trop expédié, mais explosif, rien de folichon. Par contre, c'est violent ! Je ne me rappelais pas de tout ce sang, des corps criblés de balles et des poings ensanglantés de James après une bagarre. L'accent est surtout mis sur l'enquête de James, son flegme légendaire, son charisme, et les jolis décors exotiques.
Coolitude, Fun, Humour : 7/10 - Pas le flim le plus drôle de la saga, mais deux ou trois répliques font mouche. Sean Connery est le cool incarné, et le flim reste très léger.
Alcoolisme : 9/10 - James boit (au moins) 3 Vodka Martini, du vin, et peut-être d'autres alcools, j'ai pas tenu de liste (ce sera chose faite pour le prochain flim).
Tabagisme : 9/10 - James fume beaucoup, et les autres personnages aussi.

Gadgets : NC - Aucun gadget à l'horizon. Ce n'est pas un gadget, mais j'aime beaucoup les petits stratagèmes utilisés par James pour savoir si sa chambre a été fouillée (le cheveu sur la porte du placard, du talc sur les boutons de son attaché-case).
Armes : 8/10 - Première apparition du Walther PPK, en lieu et place du Beretta utilisé par James avant le début du flim, que M n'approuve pas.
Véhicules : 7/10 - En dehors du Tank Dragon, et du corbillard, les voitures ne sont pas l'atout maître du flim. L'Aston Martin n'a pas encore fait son apparition, et les voitures utilisées par James et d'autres personnages ne sont pas vraiment tape-à-l'œil. Bon, on ne va pas cracher sur la Chevrolet Bel Air, elle est très belle, mais a un rôle très secondaire dans le flim.

Niveau de kitsch : 8/10 - La base secrète fait vraiment toc, et les superbes appartements aménagés, toujours dans la base, n'ont aucune raison d'exister (No ne fait pas de prisonniers tous les 4 matins). La scène de course-poursuite avec le corbillard a mal vieilli.
Intemporalité : 8/10 - Parce que c'est le premier flim de la saga, que Sean Connery a une classe folle, et que malgré ses petits défauts, le flim est toujours regardable, très agréable et c'est une superbe production, soignée et super classe.
Culte : 8/10 - Pas le meilleur flim de la saga, mais qu'est-ce que c'est bien quand même.

Note Moyenne Globale : 007,52/10 (165,45/22)

Si j'en vois l'utilité, je rajouterai peut-être des catégories au cours de l'intégrale.

Une anecdote amusante pour terminer : Lorsque Bond entre dans la salle à manger du Dr. No, il note un portrait du duc de Wellington par Goya. En 1961, la disparition de ce tableau de la National Portrait Gallery avait fait la une des journaux britanniques ; il sera seulement retrouvé en 1965. Dr. No aurait donc, selon le film, été le commanditaire du vol. L'ajout du tableau a été décidé la veille du tournage de la scène à 15 heures. Il n'existait aucune copie, l'équipe s'est donc rendue au musée et a demandé une photographie. Le musée a fourni des cartes postales ainsi qu'un cadre et une société extérieure s'est chargée de l'agrandissement des cartes en noir et blanc, l'illustrateur de l'équipe l'a remis en couleur le soir même.

Je me suis toujours fait faire popo devant un James Bond Les seuls films que j'ai réussi à voir sont Moonraker et Casino Royale. Sinon j'arrête toujours au bout de 20-30 minutes.

Youn a écrit:

Je me suis toujours fait faire popo devant un James Bond

Plussun

Ça se laisse siroter tranquillou roh
Je me referai sans doute l'intégrale aussi à la rentrée quand j'aurai plus de temps.

Merci pour la review

Par contre faudra un petit texte explicatif avant Live and Let Die

Youn a écrit:

Je me suis toujours fait faire popo devant un James Bond Les seuls films que j'ai réussi à voir sont Moonraker et Casino Royale. Sinon j'arrête toujours au bout de 20-30 minutes.

Ce n'est pas du tout une vanne, mais une explication pourrait être que le personnage de Bond ne te fait pas fantasmer.
En temps que mâle blanc hétéro occidental (tout est faux dans mon profil, désolé de vous l'apprendre ), Bond me fascine depuis que je suis gosse.
Sa classe, son charme, son flegme britannique, sa capacité à se sortir de toutes les situations, toujours avec panache (et pas mal de chance dans les premiers flims), sa facilité à tomber les femmes, tout me fascinait chez lui, et continue à me fasciner.
Je me suis assez vite tourné vers les héros torturés malmenés par la vie (John McClane, Rocky Balboa), mais James était toujours dans un coin de ma tête.
Comme pour une frange du cinéma français populaire, j'ai un peu laissé le personnage de côté pendant mon adolescence, pour me focaliser sur le cinéma américain et le cinéma d'auteur, avant d'y revenir vers 25/30 ans.
Je suis donc complètement passé à côté de la période Timothy Dalton, et je regardais les flims avec Pierce Brosnan de manière complètement détachée.
C'est vraiment l'ère ouverte avec Daniel Craig qui m'a redonné envie de m'intéresser à Bond.
Et à ce moment-là, j'étais excité comme une puce, dans tous les sens du terme, donc le personnage a de nouveau fait écho en moi.
Cependant, je peux comprendre qu'on n'adhère pas à cet univers, et si je me plante complètement quant à mon explication, dis-moi pourquoi tu n'accroches pas à l'univers de James Bond, je suis curieux.

John Fitgerald Willis a écrit:

Youn a écrit:

Je me suis toujours fait faire popo devant un James Bond

Plussun

Ce n'est pas du tout une vanne, mais une explication pourrait être que tu es James Bond, donc tes aventures cinématographiques n'ont aucun intérêt pour toi, puisque tu les as vécues pour de vrai.

Ash a écrit:

Par contre faudra un petit texte explicatif avant Live and Let Die

Je me suis fait exactement la même réflexion.
Ce flim est problématique, effectivement, sans parler de l'image des russes qui est donnée dans la plupart des flims sortis pendant la fin de la Guerre froide.