Saga James Bond

Tops mis à jour régulièrement au fil de mes visions...

Top des Films (du meilleur au moins bon)

1. Opération Tonnerre (Terence Young - 1965) : 008/10
2. Goldfinger (Guy Hamilton - 1964) : 008/10
3. On ne vit que deux fois (Lewis Gilbert - 1967) : 007,5/10
4. James Bond 007 contre Dr. No (Terence Young - 1962) : 006,5/10
5. Bons baisers de Russie (Terence Young - 1963) : 005,5/10


Top des James Bond Girls (de la plus choucarde à la moins choucarde)

1. Tatiana Romanova (Daniela Bianchi)

Spoiler:

2. Honey Ryder (Ursula Andress)

Spoiler:

3. Domino Derval (Claudine Auger)

Spoiler:

4. Fiona Volpe (Luciana Paluzzi)

Spoiler:

5. Aki (Akiko Wakabayashi)

Spoiler:

Viennent ensuite :

Kissy Suzuki (Mie Hama)
Jill Masterson (Shirley Eaton)
Pussy Galore (Honor Blackman)
Patricia Fearing, la masseuse (Molly Peters)
Helga Brandt (Karin Dor)
Sylvia Trench (Eunice Gayson)

Et hors-concours : Miss Moneypenny (Lois Maxwell)


Top des Méchants (du plus vilain au moins vilain)

1. Ernst Stavro Blofeld (Donald Pleasence)
2. Emilio Largo (Adolfo Celi)
3. Le docteur Julius No (Joseph Wiseman)
4. Auric Goldfinger (Gert Fröbe)
5. Rosa Klebb (Lotte Lenya)

Viennent ensuite :

Donald "Red" Grant (Robert Shaw)
Oddjob (Harold Sakata)




On avait bien un autre topic sur l'agent secret le plus célèbre de tous les temps, mais comme il est tout pourri, j'en crée un nouveau.
Et vu que je suis en train de me faire une presque intégrale (hors Jamais plus Jamais que j'ai pas sous la main et on verra si je me fais le Casino Royale de 1967).



L'article provient intégralement de Wikipedia.

James Bond, également connu par son matricule 007, est un personnage de fiction créé en 1953 par l'écrivain et ancien espion britannique Ian Fleming. Espion des services secrets britanniques et grand séducteur, James Bond est rapidement devenu un personnage célèbre et apprécié du public. Après la mort de Fleming en 1964, les aventures de Bond furent successivement écrites par Kingsley Amis (sous le nom de Robert Markham), John Gardner et Raymond Benson. De plus, John Pearson a écrit une biographie imaginaire de James Bond et, comme John Gardner et Raymond Benson, Christopher Wood a rédigé les novélisations de ses propres scénarios de films de James Bond.

Depuis 1962, l'agent 007 a fait l'objet de nombreuses adaptations cinématographiques. Quoique déjà reconnu du temps des romans de Fleming, c'est la longue série de films d'EON Productions qui a fait de James Bond un authentique mythe contemporain. Avec plus de vingt films en plus de quarante ans, celle-ci constitue l'une des plus longues sagas cinématographiques. Quelques productions indépendantes mais officielles mettant en scène James Bond furent aussi tournées.

L'agent secret a également été décliné en bande dessinée, jeu vidéo, jeu de rôle et jouets.

Depuis 2005, Charlie Higson rédige une série de livres sur la jeunesse de James Bond. En juillet 2007, il a été annoncé que Sebastian Faulks serait l'auteur du nouveau livre ayant James Bond pour héros, Le Diable l'emporte, prévu pour le 4 juin 2008. Le 22e film de James Bond, Quantum of Solace est également en production. La date de sortie est prévue le 5 novembre 2008 en France.



Pour la génèse du personnage, rendez-vous ici et ici.

Intéressons-nous au personnage cinématographique.

Le nouveau mythe du cinéma

L'adaptation de Bond se fait d'abord sur le petit écran avec une adaptation télévisée de Casino Royale en 1954. Malgré le maigre budget alloué, le feuilleton reçoit un accueil encourageant ; à tel point qu'une série télévisée est un instant envisagée. Intitulée Commander Jamaïca, elle aurait dû mettre en scène un certain James Gunn opérant depuis son yacht dans l'archipel des Caraïbes. Ce projet non abouti conduira Ian Fleming à écrire un script de trente pages, qui sera à l'origine du roman James Bond contre Dr. No.

Dès 1959, Fleming désire vendre les droits de son personnage à divers producteurs de cinéma dont Alfred Hitchcock, James Mason et Cary Grant. Ensuite sort le roman Opération Tonnerre qui aboutit à un procès en 1961. En effet Fleming avait ré-utilisé la trame d'un script rédigé conjointement avec deux autres scénaristes en 1959 pour ce qui aurait pu être la toute première aventure cinématographique de l'agent 007. Au final, c'est le producteur Kevin McClory qui obtient les droits pour l'adaptation cinématographique du roman qu'il utilisera plus tard d'abord pour un film en co-production avec Eon Productions en 1965, ensuite dans un remake indépendant intitulé Jamais plus jamais en 1983.

Finalement, l'adaptation de James Bond contre le Dr. No réalisée par Terence Young sort en 1962 et le succès est suffisant pour poursuivre la série avec la sortie en 1963 de Bons Baisers de Russie. Mais c'est Goldfinger en 1964 qui fera exploser la carrière de Bond jusqu'à l'ériger au rang de star internationale en même temps que son interprète Sean Connery.

Fleming n'aura pas le temps de profiter de ce succès. Il décède le 12 août 1964 d'un infarctus à l'âge de 56 ans. À sa mort, il avait déjà vendu 30 millions de romans ; un chiffre qui sera doublé dès l'année suivante.

Retrouvez quantité d'anecdotes, de détails sur les personnage dans les liens suivants :

http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Bond#Pr.C3.A9sentation_du_personnage
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Bond#Biographie
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Bond#Univers
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Bond#.C5.92uvres_composant_l.27univers_de_fiction
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Bond#Musique_des_films
http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Bond#Anecdotes

Bibliographie

Tous les films de la franchise (EON et hors-série ou indépendante)

Principaux acteurs

James Bond girls

Liste des méchants de James Bond

Jamesbond.com - Site officiel de James Bond

Ian Fleming Centre.com - Site officiel de Ian Fleming Publications

Je vous encourage également à lire cet article excellent dont je n'avais jamais entendu parler : Wold Newton

Pour le moment, j'ai revu James Bond contre Dr. No et une bonne moitié de Bons baisers de Russie.

Le premier a toujours ce charme intemporel des débuts de l'espion britannique sur grand écran, mais manque un peu de souffle.
On voit que les créateurs tâtonnent encore un peu, y compris Sean Connery, pour donner une véritable personnalité à 007.
Le film manque d'envergure, mais certaines scènes valent toujours le déplacement.
Notamment, la sortie de l'eau d'Ursula Andress, un grand moment de cinéma, inoubliable.



Sinon, le Dr. No n'est pas assez effrayant, et James se bat un peu comme un étudiant en karaté.
Mais bon, c'est sympa quand même.
Ce petit charme rétro est fascinant.


Quant à Bons baisers de Russie, je me rappelle avoir eu beaucoup de mal à tenir jusqu'au bout lors d'une revision il y a quelques années, voilà peut-être pourquoi j'ai du mal à reprendre le cours du film, après une cinquantaine de minutes de visionnage.
Mais bon, je m'y remets, vu que je veux tous les revoir, en entier, et dans l'ordre chronologique de sortie (uniquement les EON Productions).

Tiens, j'ai trouvé ce que je vais faire pendant les vacances.

Bons baisers de Russie est donc bien un épisode assez faible de la saga.
Malgré deux méchants bien gratinés (Rosa Klebb, incarnée par la vénéneuse Lotte Lenya avec son couteau sortant de sa bottine et Donovan 'Red' Grant, joué par l'excellent Robert Shaw), et l'émergence du SPECTRE.
Action mollassonne, situations étriquées, et un combat de femmes gitanes pas follement excitant finalement.
Mais James est toujours aussi irrésistible, et tombe les femmes comme des mouches.

À noter la présence de la sublime Daniela Bianchi, une vraie italienne, incarnant une vraie russe.



Comme pour le premier film, le(s) combat(s) contre le(s) grand(s) méchant(s) du film (les deux cités plus haut) sont trop rapidement expédiés.

Heureusement, arrive un an plus tard...




Goldfinger est enfin un James Bond de très haute tenue !
James commence à voir ses conquêtes se faire zigouiller ce qui donne à ses exploits sexuels une comparaison avec l'accouplement des mantes religieuses (quiconque couche avec Bond est en danger de mort).
Pour cela, la mort cultissime de Jill Masterson (Shirley Eaton), est un élément déclencheur suffisamment puissant et évocateur à la fois visuellement et scénaristiquement, pour faire vaciller Bond sur ses bases.
Il sait qu'il met la vie des autres en danger, et tire la tronche à plus d'une reprise pendant le film.



Bond est malmené (battu, attaché à une table, avec un laser zigzaguant dangereusement entre ses jambes, humilié...), mais il s'en sort toujours avec panache et enfin, les jeux de mot macabres commencent à fuser.

Une fois de plus, la fille tombe dans ses filets (Pussy Galore, interprétée par la sculpturale Honor Blackman) et le méchant du film, Goldfinger, incarné par Gert Fröbe, s'en prend enfin plein la tronche.
Sa mort reste absolument horrible.



Bond montre qu'il en a dans la caboche avec cette scène où il démontre à Goldfinger qu'il est très bon en calcul mental.
Une scène à la fois ridicule (car le calcul réalisé n'est finalement pas très complexe) et très drôle car l'ennemi de Bond le casse en mille morceaux en lui expliquant qu'il a pensé à tout...

Et dans ce film, la menace semble enfin bien réelle, et même si Bond s'en sort plus d'une fois grâce au hasard, au passage d'un tireur bien placé (ou visant mal, c'est selon) ou bien tout simplement grâce à un sacré coup de bol, le personnage prend de l'épaisseur, et ses missions commencent à avoir un sens idéologique et historique.

Un très Bond épisode !

Certaines photos des James Bond Girls proviennent de ce dossier sur DVDRama...

http://www.dvdrama.com/news-27256-les-james-bond-girls-le-dossier.php

Encore un excellent épisode, peut-être meilleur que Goldfinger, tant le film est généreux en action, en rebondissements... et en James Bond Girls.
C'est bien simple, y'a des filles partout, tout le temps, dans chaque scène, et James s'en tape trois pour le coup.

Tout d'abord, la jolie masseuse un peu mutine (Molly Peters)...



Puis Fiona Volpe (Luciana Paluzzi), la vilaine de service, mais horriblement sexy...



Et enfin, et surtout, Domino, incarnée par une ex-Miss France, Claudine Auger (première Bond Girl française).







Et une fois n'est pas coutume (du moins pour le moment, car ça va devenir la norme par la suite), le méchant de l'histoire est vraiment une ordure, qui n'hésite pas à torturer la pauvre Domino.
En plus, il est très vilain avec son bandeau sur le n'œil.



Donc on récapitule :
- De l'action (la scène de combat final sous-marine est superbe, et très lisible, alors que ça aurait pu être un calvaire à mettre en scène) ;
- Des James Bond Girls à foison (les producteurs ont réalisé ce film pour moi, c'est pas possible autrement) ;
- Un méchant très méchant, qui veut tout faire péter

Ajoutons à cela plein de gadgets trop bien (Un jet-pack ! Un propulseur sous-marin qui lance des harpons ! Un appareil-photo qui fait compteur Geiger !), une fois de plus, un nouvel acteur pour le rôle de Félix Leiter (Jeffrey Wright est le seul à avoir incarné ce personnage plus d'une fois durant la Saga, dans Casino Royale et Quantum of Solace), un charme exotique indéniale, une introduction sur les chapeaux de roues, et un final bluffant, et nous obtenons un très très bon épisode, bien marquant.

Je me lance dans On ne vit que deux fois, avant-dernier film avec Sean Connery en vedette, avant un épisode avec George Lazenby, et surtout, qu'il ne passe la main à Roger Moore pour sept films (c'est Moore qui détient le plus grand nombre de James Bond à son actif).

Très bien !
Un bon 007,5/10.

J'y reviendrai...

Je crois que c'est le seul que j'ai jamais vu...
Enfin, je les ai évidemment tous vus (merci TF1) mais y'en a dont je garde très peu de souvenirs.

Mr.Movie a écrit:

Je crois que c'est le seul que j'ai jamais vu...

Je te le recommande vivement, pour plusieurs raisons :
- C'est la première fois qu'on voit le visage de l'ennemi juré de Bond, Ernst Stavro Blofeld, incarné dans cet épisode par l'inquiétant Donald Pleasence ;
- La scène d'action finale est explosive, même si certains effets sont datés. Et puis y'a plein de maquettes qui explosent, c'est génial !
- James se tape, non pas une, ni deux, ni trois, mais bien trois gonzesses et demi dans le film !!! (l'une des quatre n'est pas consommée au sens strict ) ;
- Et puis y'a pas mal de beaux plans, et de séquences d'action jouissives, notamment celle mettant en scène "Nellie"
- Premières scènes se déroulant dans l'espace également...

Citation :

Enfin, je les ai évidemment tous vus (merci TF1) mais y'en a dont je garde très peu de souvenirs.

Pour le moment, je me rends compte que j'avais déjà vu ces cinq premiers.
Je crois n'avoir jamais vu les Timothy Dalton, et j'ai dû en louper quelques-uns avec Roger Moore et Pierce Brosnan.
Quand Au service secret de sa Majesté, je verrai bien si je l'ai déjà vu ou pas, mais ça m'étonnerait fortement.

Timothy Dalton est, étrangement, mon Bond préféré. Et si Permis de Tuer souffre de quelques défauts, il reste l'un des épisodes les plus matures de la saga.

C'est ce qu'on peut lire un peu partout.

J'ai également lu que le Bond campé par Timothy Dalton est le Bond qui se rapproche le plus de celui de Sean Connery.
Tu confirmes ?

Personne ne peut égaler Sean Connery, voyons. Pas même Daniel Craig.

Surtout pas Daniel Craig...

Petit MàJ ultra g33k dans le premier post.

Bad Taste a écrit:

Tops mis à jour régulièrement au fil de mes visions...

Spoiler:

Bad Taste a écrit:

Surtout pas Daniel Craig...

Bien vrai.
Même si j'adore Casino Royale.

Moi aussi j'aime beaucoup le Bond créé par Craig dans Casino Royale version 2006.
Mais c'est (presque) comme pour Indy, McClane, Rocky, Rambo, Terminator... Bond a une image prépondérante et c'est celle de Sean Connery, même s'il a incarné Bond une fois de moins que Roger Moore.

J'ai toujours eu un peu de mal avec le Bond Roger Moore par contre... C'est peut-être le fait que le personnage est plus comique (parfois) que ses prédecesseurs (et successeurs), mais d'un côté ça fait tout son charme. C'est compliqué.

Roger Moore a apporté cette touche d'humour qui lui est propre.
C'est attaché à son personnage de James Bond.
Tout comme Daniel Craig apporte une froideur et une musculature impressionnante à Bond.
Chaque acteur a apporté qqchose au personnage, et ça c'est beau.

Retour rapide sur les épisodes vus ces dernières semaines...


On ne vit que deux fois (Lewis Gilbert - 1967)

L'avant-dernier Bond avec Sean Connery.
Un Bond mineur, même s la confrontation contre Blofeld, et les gadgets utilisés pendant le film sont excellents.
Malheureusement, les James Bond Girls ne sont pas vraiment à la hauteur, même si elles restent très mignonnes.


Mie Hama : Kissy Suzuki


Akiko Wakabayashi : Aki


Karin Dor : Helga Brandt


Au service secret de Sa Majesté (Peter Roger Hunt - 1969)

Seul et unique film mettant en scène George Lazenby dans le rôle de Bond, Au service secret de Sa Majesté se révèle être une excellente surprise, malgré le désamour qu'avaient eu les fans de l'époque pour Lazenby.
Il interprète un Bond très proche de celui de Connery, mais s'en démarque par une austérité et un classicisme encore plus prononcé.
Bond n'hésite pas dans ce film, à s'affubler d'une chemise à jabot, ou bien d'un kilt, à chevaucher un cheval dans une brume David-Hamiltonienne en compagnie de l'exquise Diana Rigg, et de faire jouer son flegme au maximum, y compris lorsqu'il feuillette Playboy, lors d'une scène de vol d'informations dans un coffre-fort totalement décontractée du string.
Un très bon épisode, avec plein de James Bond Girls en plus (une partie du film se passe dans une clinique tenue par le vilain Blofeld, incarné cette fois-ci par Telly Savals, et dans lequel tous les patients sont... des femmes).


Diana Rigg : Teresa Di Vicenzo


Angela Scoular : Ruby Bartlett


Catherine Schell : Nancy


À venir...
Les Diamants sont éternels (Guy Hamilton - 1971)
Vivre et laisser mourir (Guy Hamilton - 1973)
L'Homme au pistolet d'or (Guy Hamilton - 1974)
L'Espion qui m'aimait (Lewis Gilbert - 1977)

Dommage que je n'ai pas continué à poster mes brefs avis sur la saga...
Tant pis.

007 en Blu-ray : Visuels moches des éditions françaises

Pas flagrant la première fois, évident au bout de la 30ème fois.

Moonraker : un des mes James Bond préférés. D’abord, parce que la séquence du parachute craque les coconuts. Ensuite, parce que le contraste entre la classe anglaise de Moore face à la froideur calculatrice de l’immense Lonsdale à franchement de la gueule. Enfin, parce qu’il y a de l’action, Dents de Requin, des lasers, des gadgets, des répliques remplies d’humour, du rythme, une musique qui poutre, un Chinois qui s’écrase dans un piano et un Jean-Pierre Castaldi crédité au générique que je n’ai toujours pas réussi à dénicher.

Faddman a écrit:

D’abord, parce que la séquence du parachute craque les coconuts.

Pour la peine, le voilà :

Merci pour l'image !
J'avais lu en effet sur IMDb un truc comme "Pilote Private Jet"

Je le préfère quand même en Caius Bonus

Atchik atchik atchik.

J'ai commencé à me faire l'intégrale.
Pour l'instant j'ai vu les cinq premiers, avec dans l'ensemble de bonnes petites surprises. Même si on retrouve régulièrement des problèmes de rythme, chaque opus de la saga offre son lots d'action et d'humour et possède en plus un charme rétro assez agréable. Mon favori reste pour le moment le 5ème: You Only Live Twice, avec son méchant charismatique (le meilleur ennemi de Bond depuis le début de ses aventures, facile), ses scènes d'actions sympathiques (y a des ninjas!), ses gadgets qui poutrent et pour finir un Tetsuro Tamba (même pas reconnu au début ) méga classe. Pas de réel génie, mais une recette qui fonctionne et fait passer un très bon moment. C'est tout ce qu'on demande.

You Only Live Twice (1967): 8.5/10
Goldfinger (1964): 8/10
Thunderball (1965): 7/10
Dr. No (1962): 7/10
From Russia With Love (1963): 5/10

Bad Taste a écrit:

Top 5 des James Bond Girls (de la plus choucarde à la moins choucarde)

1. Kissy Suzuki (Mie Hama)

Spoiler:

2. Domino Derval (Claudine Auger)

Spoiler:

3. Honey Ryder (Ursula Andress)

Spoiler:

4. Aki (Akiko Wakabayashi)

Spoiler:

5. Tatiana Romanova (Daniela Bianchi)

Spoiler:

Ursula Andress