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| | The Box (Richard Kelly - 2008) | |
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+9Tampax Nadsat John Fitgerald Willis Bad Taste en intérim Faddman Youn Mr Brown Bad Taste à l'EF 2009 Mr.Movie 13 participants | |
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Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
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| Sujet: The Box (Richard Kelly - 2008) Jeu 28 Fév 2008 - 19:42 | |
| Réalisé par Richard KellyAvec James Marsden, Cameron Diaz, Frank LangellaGenre : Thriller, FantastiqueD'après un épisode de la série La Quatrième Dimension. Un homme remet une boîte mystérieuse à une jeune femme. Celle-ci se rend compte qu'en appuyant sur les divers boutons des choses différentes surviennent. Mais, après être devenue riche grâce à la fameuse boîte, elle s'aperçoit qu'à chaque souhait réalisé, une personne inconnue meurt... Les premières images officielles du film : | |
| | | Bad Taste à l'EF 2009 Uwe c'est mon pote
Nombre de messages : 3162 Age : 46 Localisation : Forum des Images Emploi : Geek, selon Alexis et Rurik Loisirs : M'appeler Alban, selon Franco Nero Connarditude : 21 Date d'inscription : 15/09/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Mar 7 Avr 2009 - 16:36 | |
| Richard Kelly : The Box est terminé 07 avr 2009 | par Alice Gaubiac
Richard Kelly annonce sur sa page MySpace, que son film The Box est fini et prêt pour sortir le 30 octobre sur les écrans.
« La date de sortie a traîné un peu, mais c'est courant avec les studios, et tout le monde pense que c'est une très bonne date pour sortir le film » disait Kelly la semaine dernière.
Adapté de la nouvelle de Richard Matheson Button Button sortie en 1970, le film est écrit et réalisé par Richard Kelly, mettant en scène Cameron Diaz et James Marsden qui interprètent un couple recevant une boîte ayant de mystérieux pouvoirs.
Voici quelques renseignements donnés par Kelly au fil des mois : « Nous avons tourné dans le Massachussetts et en Virginie. Le film se passe principalement en Virginie en 1976 » ; « Le film dure 1h55 avec le générique de fin » ; « Il y a plus de 300 effets visuels, ce qui a demandé huit mois de postproduction » ; « Voici une liste des artistes dont on entend des chansons dans le film : Grateful Dead, Derek and The Dominos, Wilson Pickett, The Marshall Tucker Band, Scott Walker ». | |
| | | Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
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| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Mar 7 Avr 2009 - 21:27 | |
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| | | Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
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| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Jeu 25 Juin 2009 - 12:27 | |
| La censure, le révisionisme... | |
| | | Mr Brown NERDS.
Nombre de messages : 7869 Age : 37 Localisation : Quièvrechain ville lumière Emploi : J'espère Loisirs : ALBDY Connarditude : 95 Date d'inscription : 29/08/2007
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Jeu 25 Juin 2009 - 12:52 | |
| Intriguant | |
| | | Youn Of hosuey en plus
Nombre de messages : 25590 Age : 36 Connarditude : 234 Date d'inscription : 15/06/2005
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Mar 3 Nov 2009 - 11:17 | |
| La nouvelle originale. - Spoiler:
Le paquet était déposé sur le seuil : un cartonnage cubique clos par une simple bande gommée, portant leur adresse en capitales écrites à la main : Mr. et Mrs. Arthur Lewis, 217E 37e Rue, New York. Norma le ramassa, tourna la clé dans la serrure et entra. La nuit tombait. Quand elle eut mis les côtelettes d'agneau à rôtir, elle se confectionna un martini-vodka et s'assit pour défaire le paquet. Elle y trouva une petite boîte en contreplaqué munie d'un bouton de commande. Ce bouton était protégé par un petit dôme de verre. Norma essaya de l'ôter, mais il était solidement rivé. Elle renversa la boite et vit une feuille de papier pliée, collée avec du scotch sur le fond de la caissette. Elle lut ceci : Mr. Steward se présentera chez vous ce soir à vingt heures. Norma plaça la boîte à côté d'elle sur le sofa. Elle savoura son martini et relut en souriant la phrase dactylographiée. Peu après, elle regagna la cuisine pour éplucher la salade.
A huit heures précises, le timbre de la porte retentit. «J'y vais », déclara Norma. Arthur était installé avec un livre dans la salle de séjour. Un homme de petite taille se tenait sur le seuil. Il ôta son chapeau. «Mrs. Lewis? » s'enquit-il poliment. - C'est moi. - Je suis Mr. Steward. - Ah ! bien. Norma réprima un sourire. Le classique représentant, elle en était maintenant certaine. - Puis-je rentrer ? - J'ai pas mal à faire, s'excusa Norma. Mais je vais vous rendre votre joujou. Elle amorça une volte-face. - Ne voulez-vous pas savoir de quoi il s'agit ? Norma s'arrêta. Le ton de Mr. Steward avait été plutôt sec. - Je ne pense pas que ça nous intéresse, dit-elle. - Je pourrais cependant vous prouver sa valeur. - En bons dollars ? Riposta Norma. Mr. Steward hocha la tête. - En bons dollars, certes. Norma fronça les sourcils. L'attitude du visiteur ne lui plaisait guère. « Qu'essayez-vous de vendre ? » demanda-t-elle. - Absolument rien, madame. Arthur sortit de la salle de séjour. «Une difficulté ? » Mr. Steward se présenta. - Ah ! Oui, le... Arthur eut un geste en direction du living. Il souriait. Alors, de quel genre de truc s'agit-il ? - Ce ne sera pas long à expliquer, dit Mr. Steward. Puis-je entrer ? - Si c'est pour vendre quelque chose... Mr. Steward fit non de la tête. «Je ne vends rien. » Arthur regarda sa femme. «A toi de décider », dit-elle. Il hésita, puis «Après tout, pourquoi pas ? » Ils entrèrent dans la salle de séjour et Mr. Steward prit place sur la chaise de Norma. Il fouilla dans une de ses poches et présenta une enveloppe cachetée. «Il y a là une clé permettant d'ouvrir le dôme qui protège le bouton», expliqua-t-il. Il posa l'enveloppe à côté de la chaise. «Ce bouton est relié à notre bureau. » - Dans quel but? demanda Arthur. - Si vous appuyez sur le bouton, quelque part dans le monde, en Amérique ou ailleurs, un être humain que vous ne connaissez pas mourra. Moyennant quoi vous recevrez cinquante mille dollars. Norma regarda le petit homme avec des yeux écarquillés. Il souriait toujours. - Où voulez-vous en venir ? Exhala Arthur. Mr. Steward parut stupéfait. «Mais je viens de vous le dire. » Susurra-t-il. - Si c'est une blague, elle n'est pas de très bon goût. - Absolument pas. Notre offre est on ne peut plus sérieuse. - Mais ça n'a pas de sens ! Insista Arthur. Vous voudriez nous faire croire... - Et d'abord, quelle maison représentez-vous ? Intervint Norma. Mr. Steward montra quelque embarras. «C'est ce que je regrette de ne pouvoir vous dire », s'excusa-t-il. «Néanmoins, je vous garantis que notre organisation est d'importance mondiale. - Je pense que vous feriez mieux de vider les lieux, signifia Arthur en se levant. Mr. Steward l’imita. «Comme il vous plaira. » - Et de reprendre votre truc à bouton. - Êtes-vous certain de ne pas préférer y réfléchir un jour ou deux ? » Arthur prit la boîte et l'enveloppe et les fourra de force entre les mains du visiteur. Puis il traversa le couloir et ouvrit la porte. - Je vous laisse ma carte, déclara Mr. Steward. Il déposa le bristol sur le guéridon à côté de la porte. Quand il fut sorti, Arthur déchira la carte en deux et jeta les morceaux sur le petit meuble. «Bon Dieu ! » proféra-t-il. Norma était restée assise dans le living. «De quel genre de truc s'agissait-il en réalité, à ton avis ? - C'est bien le cadet de mes soucis ! Grommela-t-il. Elle essaya de sourire, mais sans succès. «Cela ne t'inspire aucune curiosité ? » Il secoua la tête. « Aucune. » Une fois qu'Arthur eut repris son livre, Norma alla finir la vaisselle.
- Pourquoi ne veux-tu plus en parler ? demanda Norma. Arthur, qui se brossait les dents, leva les yeux et regarda l'image de sa femme reflétée par le miroir de la salle de bains. - Ça ne t'intrigue donc pas ? Insista-t-elle. - Dis plutôt que ça ne me plaît pas du tout. - Oui, je sais, mais... Norma plaça un nouveau rouleau dans ses cheveux. Ça ne t'intrigue pas quand même ? Tu penses qu'il s'agit d'une plaisanterie ? Poursuivit-elle au moment où ils gagnaient leur chambre. - Si c'en est une, elle est plutôt sinistre. Norma s'assit sur son lit et retira ses mules. - C'est peut-être une nouvelle sorte de sondage d'opinion. Arthur haussa les épaules. «Peut-être. - Une idée de millionnaire un peu toqué, pourquoi pas ? - Ça se peut. - Tu n'aimerais pas savoir ? Arthur secoua la tête. - Mais pourquoi ? - Parce que c'est immoral, scanda-t-il. Norma se glissa entre les draps. «Eh bien, moi, je trouve qu'il y a de quoi être intrigué.» Arthur éteignit, puis se pencha vers sa femme pour l'embrasser. - Bonne nuit, chérie. - Bonne nuit. Elle lui tapota le dos. Norma ferma les yeux. Cinquante mille dollars, songeait-elle.
Le lendemain, en quittant l'appartement, elle vit la carte déchirée sur le guéridon. D'un geste irraisonné, elle fourra les morceaux dans son sac. Puis elle ferma la porte à clé et rejoignit Arthur dans l'ascenseur. Plus tard, profitant de la pause café, elle sortit les deux moitiés de bristol et les assembla. Il y avait simplement le nom de Mr. Steward et son numéro de téléphone. Après le déjeuner, elle prît encore une fois la carte déchirée et la reconstitua avec du scotch. Pourquoi est-ce que je fais ça ? se demanda-t-elle. Peu avant cinq heures, elle composait le numéro. - Bonjour, modula la voix de Mr. Steward. Norma fut sur le point de raccrocher, mais passa outre. Elle s'éclaircit la voix. « Je suis Mrs. Lewis », dit-elle. - Mrs. Lewis, parfaitement. -Mr. Steward semblait fort bien disposé. - Je me sens curieuse. - C'est tout naturel, convint Mr. Steward. - Notez que je ne crois pas un mot de ce que vous nous avez raconté. - C'est pourtant rigoureusement exact, articula Mr. Steward. - Enfin, bref... Norma déglutit. Quand vous disiez que quelqu'un sur terre mourrait, qu'entendiez-vous par là ? - Pas autre chose, Mrs. Lewis. Un être humain, n'importe lequel. Et nous vous garantissons même que vous ne le connaissez pas. Et aussi, bien entendu, que vous n’assisterez même pas à sa mort. - En échange de cinquante mille dollars, insista Norma. - C'est bien cela. Elle eut un petit rire moqueur. «C'est insensé.» - Ce n'en est pas moins la proposition que nous faisons. Souhaitez-vous que je vous réexpédie la petite boîte? Norma se cabra. «Jamais de la vie ! » Elle raccrocha d'un geste rageur.
Le paquet était là, posé près du seuil. Norma le vit en sortant de l'ascenseur. Quel toupet ! Songea-t-elle. Elle lorgna le cartonnage sans aménité et ouvrit la porte. Non, se dit-elle, je ne le prendrai pas. Elle entra et prépara le repas du soir. Plus tard, elle alla avec son verre de martini-vodka jusqu'à l'antichambre. Entrebâillant la porte, elle ramassa le paquet et revint dans la cuisine, où elle le posa sur la table. Elle s'assit dans le living, buvant son cocktail à petites gorgées, tout en regardant par la fenêtre. Au bout d'un moment, elle regagna la cuisine pour s'occuper des côtelettes. Elle cacha le paquet au fond d'un des placards. Elle se promit de s'en débarrasser dès le lendemain matin - C'est peut-être un millionnaire qui cherche à s'amuser aux dépens des gens, dit-elle. Arthur leva les yeux de son assiette. « Je ne te comprends vraiment pas.» - Enfin, qu'est-ce que ça peut bien signifier ? Norma mangea en silence puis, tout à coup, lâcha sa fourchette. Arthur la dévisagea d'un oeil effaré. - Oui. Si c'était une offre sérieuse ? - Admettons. Et alors ? Il ne semblait pas se résoudre à conclure - Que ferais tu ? Tu reprendrais cette boîte, tu presserais le bouton ? Tu accepterais d'assassiner quelqu'un ? Norma eut une moue méprisante. « Oh ! Assassiner... » - Et comment appellerais-tu ça, toi ? - Puisqu'on ne connaîtrait même pas la personne ? Insista Norma. Arthur montra un visage abasourdi. « Serais-tu en train d'insinuer ce que je crois deviner? - S'il s'agit d'un vieux paysan chinois à quinze mille kilomètres de nous? Ou d'un nègre famélique du Congo ? - Et pourquoi pas plutôt un bébé de Pennsylvanie ? Rétorqua Arthur. Ou une petite fille de l'immeuble voisin? - Ah ! Voilà que tu pousses les choses au noir. - Où je veux en venir, Norma, c'est que peu importe qui serait tué. Un meurtre reste un meurtre. - Et où je veux en venir, moi, c'est que s'il s'agissait d'un être que tu n'as jamais vu et que tu ne verras jamais, d'un être dont tu n'aurais même pas à savoir comment il est mort, tu refuserais malgré tout d'appuyer sur le bouton ? Arthur regarda sa femme d'un air horrifié. « Tu veux dire que tu accepterais, toi ? - Cinquante mille dollars, Arthur. - Qu'est-ce que ça vient... - Cinquante mille dollars, répéta Norma. L'occasion de faire ce voyage en Europe dont nous avons toujours parlé. - Norma ! - L'occasion d'avoir notre pavillon en banlieue. - Non, Norma. Arthur pâlissait. Pour l'amour de Dieu, non! Elle haussa les épaules. « Allons, calme-toi. Pourquoi t'énerver ? Je ne faisais que supposer.» Après le dîner, Arthur gagna le living. Au moment de quitter la table, il dit : « Je préférerais ne plus en discuter, si tu n'y vois pas d'inconvénient.» Norma fit un geste insouciant. «Entièrement d'accord. »
Elle se leva plus tôt que de coutume pour faire des crêpes et les oeufs au bacon à l'intention d'Arthur. - En quel honneur ? demanda-t-il gaiement. - En l'honneur de rien. Norma semblait piquée. J'ai voulu en faire, rien de plus. - Bravo, apprécia-t-il. Je suis ravi. Elle lui remplit de nouveau sa tasse. « Je tenais à te prouver que je ne suis pas ... » Elle s'interrompit avec un geste désabusé. - Pas quoi ? - Egoïste ? - Ai-je jamais prétendu ça ? - Ma foi... hier soir... Arthur resta muet. - Toute cette discussion à propos du bouton, reprit Norma. Je crois que... bref, que tu ne m'as pas comprise.... - Comment cela ? Il y avait de la méfiance dans la question d’Arthur. - Je crois que tu t'es imaginé... (Nouveau geste vague) que je ne pensais qu'à moi seule. - Oh ! - Et c'est faux. - Norma, je... - C'est faux, je le répète. Quand j'ai parlé du voyage en Europe, du pavillon... - Norma ! Pourquoi attacher tant d'importance à cette histoire ? - « Je n'y attache pas d'importance » Elle s'interrompit, comme si elle avait du mal à trouver son souffle, puis : «J'essaie simplement de te faire comprendre que... » - Que quoi ? - Que si je pense à ce voyage, c'est pour nous deux. Que si je pense à un pavillon, c'est pour nous deux. Que si je pense à un appartement plus confortable, à des meubles plus beaux, à des vêtements de meilleure qualité, c'est pour nous deux. Et que si je pense à un bébé puisqu'il faut tout dire, c'est pour nous deux, toujours ! - Mais tout cela, Norma, nous l'aurons - Quand ? Il la regarda avec désarroi. « Mais tu... » - Quand ? - Alors, tu ... Arthur semblait céder du terrain. Alors, tu penses vraiment... - Moi ? Je pense que si des gens proposent ça, c'est dans un simple but d'enquête ! Ils veulent établir le pourcentage de ceux qui accepteraient ! Ils prétendent que quelqu'un mourra, mais uniquement pour noter les réactions... culpabilité, inquiétude, que sais-je ! Tu ne crois tout de même pas qu'ils iraient vraiment tuer un être humain, voyons ? Quand il fut parti à son travail, Norma était toujours assise, les yeux fixés sur sa tasse vide. Je vais être en retard, songea-t-elle. Elle haussa les épaules. Quelle importance, après tout ? La place d'une femme est au foyer, et non dans un bureau. Alors qu'elle rangeait la vaisselle, elle abandonna brusquement l'évier, s'essuya les mains et sortit le paquet du placard. L'ayant défait, elle posa la petite boite sur la table. Elle resta longtemps à la regarder avant d'ouvrir l'enveloppe contenant la clé. Elle ôta le dôme de verre. Le bouton, véritablement, la fascinait. Comme on peut être bête ! Songea-t-elle. Tant d'histoires pour un truc qui ne rime à rien. Elle avança la main, posa le bout du doigt… et appuya. Pour nous deux, se répéta-t-elle rageusement. Elle ne put quand même s'empêcher de frémir. Est-ce que, malgré tout ?... Un frisson glacé la parcourut. Un moment plus tard, c'était fini. Elle eut un petit rire ironique. Comme on peut être bête! Se monter la tête pour des billevesées. Elle jeta la boîte à la poubelle et courut s'habiller pour partir à son travail.
Elle venait de mettre la viande du soir à griller et de se préparer son habituel martini-vodka quand le téléphone se mit à sonner. Elle décrocha. - Allô, - Mrs. Lewis ? - c'est elle-même. - Ici l'hôpital de Lenox Hill. Elle crut vivre un cauchemar à mesure que la voix l'informait de l'accident survenu dans le métro : la cohue sur le quai, son mari bousculé, déséquilibré, précipité sur la voie à l'instant même où une rame arrivait. Elle avait conscience de hocher la tête, mécaniquement, sans pouvoir s'arrêter. Elle raccrocha. Alors seulement elle se rappela l'assurance-vie, une prime de 25000 dollars, une clause de double indemnité en cas de... Alors elle fracassa la boite contre le bord de l'évier. Elle frappa à coups redoublés, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le bois eût éclaté. Elle arracha les débris, insensible aux coupures qu'elle se faisait. La caissette ne contenait rien. Pas le moindre fil. Elle était vide.
Quand le téléphone sonna, Norma suffoqua, comme une personne qui se noie. Elle vacilla jusqu'au living-room, saisit le récepteur. - Mrs. Lewis ? Articula doucement Mr. Steward. Etait-ce bien sa voix à elle qui hurlait ainsi ? Non, impossible ! - Vous m'aviez bien dit que je ne connaîtrais pas la personne qui devait mourir ? - Mais, chère madame, objecta Mr. Steward, croyez-vous vraiment que vous connaissiez votre mari ?
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| | | Faddman http://www.rickrolled.fr/
Nombre de messages : 7708 Age : 95 Localisation : :noitasilacoL Emploi : :iolpmE Loisirs : :srisioL Connarditude : 46 Date d'inscription : 29/06/2005
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Mar 3 Nov 2009 - 11:21 | |
| C'est surtout un gros plagiat du Veston Ensorcelé de Dino Buzatti | |
| | | Mr.Movie Jean-Marie Carpenter[/b]
Nombre de messages : 18895 Age : 32 Localisation : ¡Que si! Emploi : ¡Que no! Loisirs : ¡Qu- BANG! Connarditude : 128 Date d'inscription : 07/03/2006
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Mar 3 Nov 2009 - 12:15 | |
| Ash a vu l'épisode Button Button dans La Quatrième Dimension, non ? J'ai pas vu son avis sur le topic concerné. EDIT : Ah non, c'est dans la version de 1985... | |
| | | Bad Taste en intérim Ira Weiner
Nombre de messages : 4607 Age : 27 Localisation : Dans ma grotte Loisirs : Le célibat, ne pas chercher de boulot, éviter de sortir de chez moi... Connarditude : 24 Date d'inscription : 11/06/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 16:12 | |
| Up pour cette feignasse de Mr Brown qui a vu le flim, mais n'en a pas parlé ici (ni sur son blog de pouet d'ailleurs). | |
| | | John Fitgerald Willis Ignominie malaisante à un degré difficilement concevable
Nombre de messages : 6359 Age : 41 Localisation : Tout à fait Emploi : Gné ? Loisirs : La chasse aux bébés phoques Connarditude : -69 Date d'inscription : 09/04/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 17:36 | |
| C'était bien. | |
| | | Bad Taste en intérim Ira Weiner
Nombre de messages : 4607 Age : 27 Localisation : Dans ma grotte Loisirs : Le célibat, ne pas chercher de boulot, éviter de sortir de chez moi... Connarditude : 24 Date d'inscription : 11/06/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 17:39 | |
| Merci pour ton avis ! Au moins, t'es moins feignant que ce pourceau de Mr Brown. | |
| | | John Fitgerald Willis Ignominie malaisante à un degré difficilement concevable
Nombre de messages : 6359 Age : 41 Localisation : Tout à fait Emploi : Gné ? Loisirs : La chasse aux bébés phoques Connarditude : -69 Date d'inscription : 09/04/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 17:45 | |
| Ça m'a demandé un effort considérable, mais je l'ai fait pour vous, parce que je sais à quel point mes avis vous tiennent à cœur. | |
| | | Bad Taste en intérim Ira Weiner
Nombre de messages : 4607 Age : 27 Localisation : Dans ma grotte Loisirs : Le célibat, ne pas chercher de boulot, éviter de sortir de chez moi... Connarditude : 24 Date d'inscription : 11/06/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 17:47 | |
| Bah comme tu le disais dans un autre topic, les avis ciné, c'est ton domaine de prédilection, alors que le flood pas du tout. | |
| | | John Fitgerald Willis Ignominie malaisante à un degré difficilement concevable
Nombre de messages : 6359 Age : 41 Localisation : Tout à fait Emploi : Gné ? Loisirs : La chasse aux bébés phoques Connarditude : -69 Date d'inscription : 09/04/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 17:49 | |
| Pas du tout, la preuve: Weeds c'est très bien. | |
| | | Bad Taste en intérim Ira Weiner
Nombre de messages : 4607 Age : 27 Localisation : Dans ma grotte Loisirs : Le célibat, ne pas chercher de boulot, éviter de sortir de chez moi... Connarditude : 24 Date d'inscription : 11/06/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 17:52 | |
| Quel topic merveilleux (celui de Weeds, pas celui de The Box, qui sent le renfermé pour le moment). | |
| | | Mr Brown NERDS.
Nombre de messages : 7869 Age : 37 Localisation : Quièvrechain ville lumière Emploi : J'espère Loisirs : ALBDY Connarditude : 95 Date d'inscription : 29/08/2007
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 21:23 | |
| J'ai bien aimé The box, mais ça manque de nichons (Alors que mon week end non, ce qui explique le fait que je n'avais pas le temps ni l'envie d'écrire sur un film par ailleurs impossible à décrire ou critiquer, tant il repose sur le ressenti devant l'intrigue et l'atmosphère du film, et sur la capacité d'entrer dans le film, sa suspension d'incrédulité. Vàlà) C'était bien. J'y reviendrai. | |
| | | Nadsat Putain de romantique
Nombre de messages : 1367 Age : 43 Connarditude : 1 Date d'inscription : 20/01/2007
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 21:40 | |
| Et Cinéman dans tout ça ? ^^ | |
| | | Tampax Alzheimer en bonne voie
Nombre de messages : 2087 Age : 98 Localisation : Emploi : Loisirs : Connarditude : -5 Date d'inscription : 01/11/2009
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 21:41 | |
| - Mr Brown a écrit:
- J'ai bien aimé The box, mais ça manque de nichons
(Alors que mon week end non, ce qui explique le fait que je n'avais pas le temps ni l'envie d'écrire sur un film par ailleurs impossible à décrire ou critiquer, tant il repose sur le ressenti devant l'intrigue et l'atmosphère du film, et sur la capacité d'entrer dans le film, sa suspension d'incrédulité. Vàlà) C'était bien. J'y reviendrai. Moi j'attend de le voir pour me prononcer aussi. Pour ce qui est des nichons c'est vrai que miss Diaz ne semble pas en avoir beaucoup.Je vous dirais ce que j'en pense après. | |
| | | Mr Brown NERDS.
Nombre de messages : 7869 Age : 37 Localisation : Quièvrechain ville lumière Emploi : J'espère Loisirs : ALBDY Connarditude : 95 Date d'inscription : 29/08/2007
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 21:44 | |
| - Nadsat a écrit:
- Et Cinéman dans tout ça ? ^^
Ah ça, j'étais obligé d'en parler (Dans le topic des derniers films vus en salle) | |
| | | Nadsat Putain de romantique
Nombre de messages : 1367 Age : 43 Connarditude : 1 Date d'inscription : 20/01/2007
| | | | Tampax Alzheimer en bonne voie
Nombre de messages : 2087 Age : 98 Localisation : Emploi : Loisirs : Connarditude : -5 Date d'inscription : 01/11/2009
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Dim 8 Nov 2009 - 21:49 | |
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| | | Bad Taste en intérim Ira Weiner
Nombre de messages : 4607 Age : 27 Localisation : Dans ma grotte Loisirs : Le célibat, ne pas chercher de boulot, éviter de sortir de chez moi... Connarditude : 24 Date d'inscription : 11/06/2008
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Lun 9 Nov 2009 - 2:34 | |
| Elle a un sourire de psychopathe la Madame ! Poster dans le même message les mots "cancer" et "nichons", je trouve ça magnifique. - Mr Brown a écrit:
- J'ai bien aimé The box, mais ça manque de nichons
- Mr Brown a écrit:
- (Alors que mon week end non, ce qui explique le fait que je n'avais pas le temps ni l'envie d'écrire sur un film par ailleurs impossible à décrire ou critiquer, tant il repose sur le ressenti devant l'intrigue et l'atmosphère du film, et sur la capacité d'entrer dans le film, sa suspension d'incrédulité.
Vàlà) TG, d'une certaine manière. - Mr Brown a écrit:
- C'était bien.
Le flim ou tes relations sexuelles ? - Mr Brown a écrit:
- J'y reviendrai.
Le flim ou tes relations sexuelles ? - Mr Brown a écrit:
- Nadsat a écrit:
- Et Cinéman dans tout ça ? ^^
Ah ça, j'étais obligé d'en parler (Dans le topic des derniers films vus en salle) Tu aurais pu créer un topic. Non, je déconne. | |
| | | Tampax Alzheimer en bonne voie
Nombre de messages : 2087 Age : 98 Localisation : Emploi : Loisirs : Connarditude : -5 Date d'inscription : 01/11/2009
| | | | Ratman Kadyrov Rat n'a foutre !
Nombre de messages : 2656 Age : 43 Localisation : Dans les zégouts de Sarlat Loisirs : J'aime la mort aux rats Connarditude : 1 Date d'inscription : 28/11/2006
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Lun 16 Nov 2009 - 1:50 | |
| Décidément, après Donnie Darko qui m'avait laissé de marbre, contrairement à certains de mes potes qui ont bloqué sur le premier flim de Kelly, puis la débandade Southland Tales, le dernier flim de Richard Kelly ne m'a, une fois de plus, pas parlé (ou alors par intermittences). Ces univers sous influence (Dans chacun de ses flims, l'ombre de David Lynch plane dangereusement, si bien que je trouve qu'ils n'ont pas de personnalité propre à Richard Kelly) ne m'enthousiasment pas et malgré quelques bonnes idées (les saignements de nez, le visage ravagé de Stewart, et les tourments provoqués par les femmes, entre autres), l'ensemble me laisse un goût d'inachevé. The Box n'est pas un mauvais flim, et comme pour les deux précédents flims du réalisateur, je comprends que l'on puisse s'abandonner dans ses univers, mais ça ne me parle pas, ça me laisse aussi froid qu'un Mister Freeze. Ce flim n'est donc même pas une déception, puisque je ne suis pas surpris d'être resté sur ma faim. Voilà.
4 ou 5/10 | |
| | | Ratman Kadyrov Rat n'a foutre !
Nombre de messages : 2656 Age : 43 Localisation : Dans les zégouts de Sarlat Loisirs : J'aime la mort aux rats Connarditude : 1 Date d'inscription : 28/11/2006
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Lun 16 Nov 2009 - 2:13 | |
| Par contre, et je tiens à le souligner : Merci de votre attention. | |
| | | Youn Of hosuey en plus
Nombre de messages : 25590 Age : 36 Connarditude : 234 Date d'inscription : 15/06/2005
| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) Lun 16 Nov 2009 - 8:59 | |
| Ben moi j'ai beaucoup aimé. C'est quand même une sacré critique de la religion (tout en étant une métaphore du pêché originel). | |
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| Sujet: Re: The Box (Richard Kelly - 2008) | |
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| | | | The Box (Richard Kelly - 2008) | |
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