Nombre de messages : 15367 Age : 35 Connarditude : -14 Date d'inscription : 10/10/2006
Sujet: Saga Ilsa - A la force du fouet! Lun 24 Sep 2007 - 22:49
SAGA ILSA
NYMPHOMANES AU POUVOIR
ILSA, LA LOUVE DES SS
USA, 1974 Réalisateur: Don Edmonds Genre: Nichons du 3ème Reich Durée: 92 min Avec: Dyanne Thorne...
L'histoire:
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, Ilsa dirige un camp où elle fait subir des expériences médicales aux détenus…
Ilsa la louve des SS est consideré par beaucoup comme la référence ultime du sous-genre sulfureux qu'est la nazixploitation. Inutile de préciser que pour beaucoup également il est parfaitement inutile de s'attarder sur cette catégorie, forcément synonyme de médiocrité crasse et de complaisance gerbante. Il n'empêche que tout ceux qui ont définitivement arrêté leur avis sur ce pan du cinéma d'éxploitation sans en avoir vu ne serait-ce que quelques minues feraient mieux d'y jeter un oeil (voir les deux). C'est peut-être cheap, pas toujours fin et carrément crad parfois, ça reste toujours moins crétinou que la soupe qu'on nous sert actuellement, à grand renfort de comédies bien beauf qui nous dicte le comportement et l'état d'ésprit idéal à avoir en société, et ne recherche plus un réel plaisir ou divertissement à offrir au spectateur. Car si Ilsa n'est pas le modèle type de finesse, force est de constater que son cahier des charges de bon gros B/Z est rempli jusqu'a la gueule de bonnes choses, qui assure un divertissement en or, des scènes hallucinantes (phallucinantes?) et beaucoup de défauts qui rendent le tout d'autant plus sympa (quelques éléments bien nanars ça fait toujours plaisir et mine de rien ça apporte du rythme). Pour la louve des SS comme pour les autres films du genre, le scénar se repose sur deux choses, du popotin et du sang. Pas de petit têton au détour d'un plan flou d'une demi-seconde, pas de petite goutte de sang a cause d'un malencontreux saignement de nez, non, le film fait continuellement dans le too much, baises joyeuses et orgies, filles éléctrocutée ou plongée dans de l'eau bouillante, homme qui dit adieu à ses bijoux de familles et coups de sécateur en tout genre. C'est fin ça se mange sans faim. C'est sûr, ce défilé de scènes crades au possible pourra en révulser certains, surtout vu le contexte de ce genre de film, et le triste passé qu'il rappelle. Mais, ne pas oublier que les producteurs assoiffés de fric, sans jamais faire l'éloge de l'idéologie nazie, font surtout un film de divertissement pour se remplir les poches, et ne se privent pas pour tourner les officiers SS et autres soldats à la dérision, ce qui donne au film un côté BD trashos plutôt qu'une reconstitution historique que des gens y voient à tort.
Ilsa, quand elle ne fais pas l'amour, elle envoie ses amants à la mort, quelle tendresse, quelle générosité, quelle femme.
CHEISE!!! Tu va m'obéir, sinon je te fais un croche-pied!
"Dis Ilsa, pourquoi elle est toute nue la dame? -tu parles trop Hans, va me chercher une pinte, et ensuite tu me fera l'amour comme une bête enragé. Et toi-là, va arroser les plantes."
"Ne vous inquiétez pas monsieur, ce n'est qu'un vilain rhume. Nous allons proceder à une émasculation et ça ira sans doute mieux. A vos souhaits"
"Allo? oui? pardon? QUOI? VOUS PLAISANTEZ? Ah, je suis décoiffée...j'ai eu peur...j'ai d'abord cru qu'on voyait mes seins."
"Filaine, du n'a bas fini tes légumes, 100 coups de fouet pour toi"
Tu vois petite, je viens de trouver un nouveau joujou, ça te dit d'éssayer? -OH MY GOD!
Un film pour la famille
Ilsa vient d'inventer le Docteur Maboul, mais en live! Un jeu MB
"Oui, nous l'avons cuite au feu de bois, à l'ancienne, un petit morceau? -Ach nein, ma Bertha ma mise au réchime vorcé."
"Alors c'est d'accord, le dernier qui rigole se fait la fille?"
Les deux gardiennes sont aussi méchantes que belle. Par contre le fouet c'est pas trop mon truc.
"Mein gott freulin!! Fous n'afez pas de bedide gulotte! Ach, z'est une vraie jungle là dezous. -tradizion familiale Herr General."
L'habituel et désormais incontournable défilé de boobs
Un harem, une gardienne implacable, nympho et adepte des pires sévices physiques, de pauvres femmes (souvent à poil et....et à poil) prisonnières et forcées d'offrir leur tendre et inexploré corps de déesse (haaaaaannnn comment que ça prend une tournure délicieusement érotique!) aux plus rustres des hommes du coin, deux servantes à poil aussi, passées maitresses dans l'art du combat à main nue ou à l'arme blanche, du sang, de la douleur, de l'éxcitation, de la jouissance....Ah et j'oubliais le plus important, des nichons....beaucoup, beaucoup, beaucoup de nichons.
En gros, Ilsa la gardienne du Harem peut se résumer à ça. Mené d'une poigne de fer par une Dyanne Thorne charismatique (aaaahhhh qui n'aimerai pas se prendre un coup de fouet de cette femme, ou un coup de botte.... ), cet opus de la saga n'atteint pas le niveau de mauvais goût assumé de la louve des SS, mais reste tout de même un petit bonheur. Pourquoi, et bien tout d'abord pour tous les éxcès possibles, tant au niveau de l'érotisme (kitsch oui, mais très sympa, busty women oblige), que de la violence (malgré ma version qui est sans doute censurée, on a à boire et à manger, émasculation, énucléation, bide qui explose, nichons pourris, homme qui prend feu etc...). Oui c'est pas très fin, mais c'est fun de bout en bout, et inutile d'aller plus loin, le spéctateur reçoit ce qu'il était venu checher en appuyant sur la touche play. En plus de tout ce joyeux programme (joyeux, car on a quand même l'occasion de se payer quelques belles tranches de rire, tant certaines scènes sont juste énormes de nanardise), on peut se réjouir de plusieurs aspect très sympa, comme les acteurs qui en font des tonnes (sauf Ilsa, grrrrr griffe moi Ilsa ), les faux-raccords absolument monumentaux, le côté fauché du tout, et pour ma version à moi, qui semble être rien de moins qu'une simple copie de VHS, un grain d'image crade à souhait qui donne un cachet unique. Un petit bonheur coupable en somme. Au fait, est-ce que j'ai précisé qu'il y avait pleins de nichons dans le film? Oh oui Ilsa, balance moi tes rangers dans la gueule, dis, je peux faire paf paf entre tes seins?
Ilsa, c'est de la poésie: "Le premier qui se moque de mon short, je lui fais bouffer ses bijoux de famille"
"Quoi p'tit crétinou? tu veux ma photo? -non. -bon...tu peut matter mon popotin si tu veux."
Ilsa surveille ses petites protégées, et à la moindre tentative de fuite (attention c'est véridique!), elles se font juste dévorer le pubis par un rat.
-C'est bizarre Adam -Oui doc -Ou sommes-nous Adam? -Je ne sais pas doc -C'est quoi le nom du film déjà Adam? -Je ne sais pas doc -Bon...j'éspère au moins qu'il y aura des nichons -Moi aussi doc.
Liquidation de chattes, on a de toutes les chattes, de la chatte blanche, noire, espagnole, chaude, glacée, qui mouille, qui pue, qui mord, de la chatte de poulet, si vous trouvez autre part une chatte moins cher qu'ici....BAISEZ-LA! (voir Une nuit en enfer)
"Je te préviens jeune vierge, si tu ne répond pas, je te verse un bol rempli de Nutella sur les têtons, jusqu'a ce que mort s'en suive.
-NOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNN"
So busty, mais so méchante aussi
Les gars, je trouve ce tournage, su-per-cool.
-Je ne comprend pas Adam -moi non plus doc -Que font toutes ces femmes nues ici Adam -je ne sais pas doc -c'est indécent Adam -oui doc -honteux, révoltant Adam -oui doc
-....J'ai une éréction du tonnerre Adam -moi aussi doc.
"Tu vois Adam, j'ai pensé à un concept qui pourrait donner quelque chose d'intéressant. Une sorte de village people du moyen-orient. Qu'en penses-tu? -J'ai faim."
psssssttt...hmmm pssssstttt, tu as les seins qui débordent de ton corset.
Un festival de nichons (artistiques et ésthétique...si si!)
1960 : Who Was That Lady? 1962 : Lash of Lust : Claudia 1963 : Love with the Proper Stranger : Musician 1964 : Sin in the Suburbs : Yvette Talman 1967 : La Folle mission du docteur Schaeffer (The President's Analyst) : Cocktail Waitress 1970 : Love Me Like I Do : Sharon Sloane 1971 : The Erotic Adventures of Pinocchio : Fairy Godmother 1971 : Point of Terror : Andrea 1972 : Blood Sabbath : Alotta, Queen of Witches 1975 : Wham Bam Thank You Spaceman : Hooker 1975 : The Swinging Barmaids : Boo-Boo 1975 : Ilsa la louve (Ilsa, She Wolf of the SS) : Ilsa 1976 : Ilsa, Harem Keeper of the Oil Sheiks : Ilsa 1976 : Beyond Fulfillment : Hostess 1976 : Chesty Anderson, USN : Nurse 1977 : Greta, la tortionnaire (Greta - Haus ohne Männer) : Greta / Ilsa 1977 : Ilsa, la tigresse du goulag (Tigress) : Ilsa 1979 : Up Yours - A Rockin' Comedy 1985 : Hellhole : Crysta 1985 : Space (feuilleton TV) : Entertainer 1987 : Un sketch (Aria) : Bride (segment "Liebestod") 1987 : Real Men : Dad Pirandello
Dernière édition par Ash le Mer 18 Juin 2008 - 23:53, édité 6 fois
Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Nombre de messages : 40402 Age : 17 Localisation : Chez ma mère Emploi : LOL Connarditude : 9998 Date d'inscription : 12/08/2005
Sujet: Re: Saga Ilsa - A la force du fouet! Lun 24 Sep 2007 - 22:51
J'ai rien lu, mais : Merci d'avance Ash.
Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Nombre de messages : 40402 Age : 17 Localisation : Chez ma mère Emploi : LOL Connarditude : 9998 Date d'inscription : 12/08/2005
Sujet: Re: Saga Ilsa - A la force du fouet! Lun 24 Sep 2007 - 22:55
Ash a écrit:
Genre: Nichons au soleil
( o Y o )
Bad Taste Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !
Nombre de messages : 40402 Age : 17 Localisation : Chez ma mère Emploi : LOL Connarditude : 9998 Date d'inscription : 12/08/2005
Sujet: Re: Saga Ilsa - A la force du fouet! Lun 24 Sep 2007 - 22:56
Grâce à ton sujet, tu as ameuté tout le monde.
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Nombre de messages : 14933 Age : 37 Localisation : R'lyeh Emploi : Worshippeur de Grands Anciens Loisirs : Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn Connarditude : -38 Date d'inscription : 17/07/2006
Sujet: Re: Saga Ilsa - A la force du fouet! Lun 24 Sep 2007 - 22:57
Déjà que j'ai pas mal kiffé les quelques WIP que j'ai pu voir, il faut absolument que je me mette à cette saga !
La présentation est hillarante, vraiment !!
Merci Ashounet !!!!
Dernière édition par le Lun 24 Sep 2007 - 22:58, édité 1 fois
Ash Un grand must
Nombre de messages : 15367 Age : 35 Connarditude : -14 Date d'inscription : 10/10/2006
Sujet: Re: Saga Ilsa - A la force du fouet! Lun 24 Sep 2007 - 22:58
ILSA, LA TIGRESSE DU GOULAG
USA, 1977 Réalisateur: Jean Lafleur Genre: Nichons glacés Durée: 88 min Avec; Dyanne Thorne...
L'histoire:
Andrei est envoye en Siberie, dans un goulag dirige par Ilsa, femme sadique et nymphomane, aux methodes violentes. Elle tente en vain de le seduire. 20 ans plus tard, Ilsa dirige une maison close et Andrei s'y rend par hasard. Il se fait capturer par Ilsa...
Cette fois-ci aux commandes d'un goulag en Sibérie, la charismatique et sadique Ilsa (Ilsa, c'est plus fort que toi (c)), rempile pour une nouvelle aventure faite de sang et de chair. Mais, Russie oblige, on dira adieu aux palmiers de la gardienne du harem pour dire bonjour aux peaux de bêtes, gros manteaux et chapeaux rembourrés, parce que c'est vrai quoi, on se les gèle là-bas. Le programme est très simple, le jour, les prisonniers bossent et se font bourrer le mou par de vilains tortionnaires ayant pour mission de leur inculquer les valeurs de notre cher Staline. Le soir, Ilsa en profitent pour organiser des petites orgies avec ses hommes de main. Chanson, danse, strip et partouze...on ne pourra pas nier qu'Ilsa a le sens de la fête! Vous l'aurez compris, La tigresse du goulag ne déroge pas à la rêgle, le cahier des charges des précédents films est ici repris, avec cela va de soi, son lot de scènes plus ou moins érotiques, ses gros plans divins, son fétichisme léger, et sa petite pointe de sado-masochisme. Effets sanglants sont évidemment également au rendez-vous, et ce sont castrations, décapitation, empalements et autres petits effets crades qui s'enchainent pour le plaisir déviant du spectateur. Là ou cet opus étonne et innove par rapport aux précédents, c'est dans son revirement total en plein milieu. La team Ilsa se fait dégommer en Sibérie, et on la retrouve quelques années plus tard...au Canada! Seul un des ses hommes de main ayant survécu avec elle, ils règnent désormais à Montréal en tant que dangeureux criminels....bon ok, les auteurs ont un peu abusé de la vodka, mais du moment qu'on ne s'pouet pas, qu'on voit des charmantes jeunes femmes, des mecs moches et cons qui se font démonter la gueule à coup de pieu en bois et qu'on se marre, on vs'en fout un peu que le scénar soit un joyeux bordel. C'est ça la classe Ilsa.
Ilsa, piétine moi avec ton cheval!
Punta cana 2007, "ben puttain, si j'avais su j'aurais pas v'nu"
Bienvenue à tous, je suis Ilsa, l'animatrice de ce camp. Allez zou! je vous propose pour commencer une douche collective. Igor, le petit timide derrière moi s'est porté volontaire pour frotter le dos de ces messieurs.
Il n'a pas demandé la permission avant de quitter la table...
Le soir, apprenez à danser avec Ilsa, HEY HEY HEY!!!
Hep toi là! Il est ou ton bonnet? Allez hop, au goulag!
Tu sais dimitriev, ça me touche que tu m'aides aussi spontanément à chercher mes clés.
Massacre à la tronçonneuse c'est un vrai tuc d'amateur à côté de ça
"Tu sais Sergeï, il faut que je t'avoues quelque chose avant de mourir. Voila...je suis un homme. - Ca tombe bien, j'ai moi aussi un secret. Voila...je suis ton frêre."
"Hep toi là, tu veux ma photo? -Boris, ne fais pas peur au lecteur. Et met la 2, il y a des chiffres et des lettres qui va commencer."
Puttain Jurgen, tu sers vraiment à rien, t'a complêtement gacher notre entrée. Et puis elle est ou ta cagoule, tu peux me dire? 3 mois de répet' dans l'os, tout ça parce que môôôssieur est allergique à la laine.
Dans un pays d’Amérique Latine, la doctoresse Ilsa / Greta soigne les perversions sexuelles et les nymphomanes. Mais une patiente, Rosa, s’échappe et prévient le docteur Arcos en parlant de mauvais traitement. Ramenée, l’évadée est ensuite assassinée. La sœur de Rosa, Abigael, décide d’enquêter et s’introduit dans la clinique. Elle découvre finalement que sa sœur est toujours vivante et que Ilsa se sert de sa clinique comme couverture pour supprimer les opposants à la dictature. Elle alimente aussi un fructueux marché de snuff movies en filmant les tortures sexuelles, viols et meurtres de ses victimes.
Ce bon vieux Jess est un gros coquinou. Bon, ça on le savait déjà, mais il faut dire ce qui est, cet opus est en fait un film à la gloire du beau, du magnifique, du rond et léger (ou lourd et plein, ça dépend des actrices en fait) nichon. Non pas que le père Jess délaisse le côté gore et trashos, mais il l'atténue quand même considérablement au profit de scènes de nu ( à poil quoi). Ceci explique en tout cas le fait que les charmantes (enfin plus ou moins, là aussi ça dépend des actrices) prisonnières prennent à peu près 37 douches par jour, se carressent en permanence, et se battent nues (nu = à poil, hein? je l'ai déjà dit et en plus vous savez très bien ce que ça veut dire? oui bon c'est bon, arrêtez de râler ou je me casse de ce forum avec mule dort!). Les corps en action, le Jess en est friand, mais il n'en oublie donc pas ses litrons de rouge, et ce sont divers sévices physiques qui viendront se poser définitivement sur les chairs fragiles et vulnérables des petites pensionnaires du camps (oui bon, les malheureuses victimes d'une hierarchie cruelle, pfff ). En gros, ça se plante des aiguilles dans les côtes, ça se renifle le cul, ça s'éléctrocute le tagada tsoin tsoin (des enfants nous lisent peut-être...MM, qu'est-ce que tu fout ici?! tes papiers s'il te plait!), ça se découvre des penchants pour le cannibalisme de groupe et ça coupe, tranche, brûle, et pleins de petits trucs fort agréables. Une vraie promenade de santé, à croire que, s'il n'a pas compris comment rendre ses personnages heureux (c'est difficile en leur balancant des coups de fouet dans la gueule quand même, ou alors il faut s'appeler Youn et aimer la domination), Jess à au moins compris (et ce depuis longtemps) comment donner a ses spectateurs un sourire comme-ça, au moins aussi large que le bonnet D de cette grosse cochonne d'Ilsa.
Grilsa a changé de coupe, un coup de chalumeau dans la tronche à celui qui n'aime pas.
Jess, désolé pour ces détracteurs ( décamions aussi mais bon), mais c'est mon pote.
"Bonjour, c'est bien ici la partouze costumée?"
Jess Franco et son équipe, la veille du tournage:
"Bon c'est pas compliqué, dès que je dit "action", tous le monde se fout à poil et commence à baiser, c'est clair? Si avec ça on atterri pas aux oscars!"
"Stoppez la voiture sur le bas côté, et montrez-moi vos papiers. -euh, je pense que vous vous êtes trompée de film mademoiselle. -Comment? Ce n'est pas Rick Hunter ici?"
Une baston dans les douches!!!!!!!!!!!!!!! Tous à poil!!!!!!!!!
"Un numéro fétiche s'il vous plait, le numéro 4. -Hummm c'est votre jour de chance."
On sait enfin pourquoi mighty n''était jamais accepté en audiovisuel: "Tu parles, j'ai acheté le costume exprès pour l'entretien, je comprend pas, pffffffffff..."
Oui à la fin Grilsa se fait bouffer vivante par ses prisonnières, Jess Franco est un poète.
"Par là? -plus à gauche. -ici? -non, plus haut, aaahh...aiieee, tes ongles. -excuses, mais comment tu as fait pour mettre la clé de ton casier ici?"
"Je t'avais prévenu que si tu ne te brossais pas les dents 3 minutes au moins, j'allais te faire comprendre que ton haleine pique les yeux."
Et je demande le désormais légendaire défilé de nichons, comment qu'il est toujours beau et...et nichonnesque.
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Sujet: Saga Ilsa - A la force du fouet! 
), cet opus de la saga n'atteint pas le niveau de mauvais goût assumé de la louve des SS, mais reste tout de même un petit bonheur. Pourquoi, et bien tout d'abord pour tous les éxcès possibles, tant au niveau de l'érotisme (kitsch oui, mais très sympa, busty women oblige), que de la violence (malgré ma version qui est sans doute censurée, on a à boire et à manger, émasculation, énucléation, bide qui explose, nichons pourris, homme qui prend feu etc...). Oui c'est pas très fin, mais c'est fun de bout en bout, et inutile d'aller plus loin, le spéctateur reçoit ce qu'il était venu checher en appuyant sur la touche play. En plus de tout ce joyeux programme (joyeux, car on a quand même l'occasion de se payer quelques belles tranches de rire, tant certaines scènes sont juste énormes de nanardise), on peut se réjouir de plusieurs aspect très sympa, comme les acteurs qui en font des tonnes (sauf Ilsa, grrrrr griffe moi Ilsa 
!!
). En gros, ça se plante des aiguilles dans les côtes, ça se renifle le cul, ça s'éléctrocute le tagada tsoin tsoin (des enfants nous lisent peut-être...MM, qu'est-ce que tu fout ici?! tes papiers s'il te plait!), ça se découvre des penchants pour le cannibalisme de groupe et ça coupe, tranche, brûle, et pleins de petits trucs fort agréables. Une vraie promenade de santé, à croire que, s'il n'a pas compris comment rendre ses personnages heureux (c'est difficile en leur balancant des coups de fouet dans la gueule quand même, ou alors il faut s'appeler Youn et aimer la domination), Jess à au moins compris (et ce depuis longtemps) comment donner a ses spectateurs un sourire comme-ça, au moins aussi large que le bonnet D de cette grosse cochonne d'Ilsa. 
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