Vos derniers flims vus en salle ou dans le salon de Youn (Films sans topics)

Parlez ici de votre dernier film vu en salle, qui ne nécessite pas la création d'un topic spécifique...

J'aurai dû y penser avant.

Ensemble c'est tout ... il est moyen wizz

Tu pourrais un peu développer quand même !

30 minutes de Transformers de Michael Bay

Ayant passé une soirée mi figue mi-raisin hier soir (bon concert, mais mauvaise nouvelle pour moi), je m'en tapais un peu les roubignoles de cet extrait de Transformers que Verdurand m'avait proposé 1 semaine et demie plus tôt.

Après une mâtinée plutôt courte (levé vers 12h12, bouine pendant quelques minutes, quelques tapes dans le dos virtuelles et un plat préparé réchauffé au micro-onde, un très bon sauté de porc avec de la purée) je me prépare pour partir, en tirant la gueule, pasque je ne sais pas pleurer quand il faut ou quand la situation l'exige.

Arrivé Avenue MacMahon, je demande mon chemin à un restaurateur m'ayant mal aiguillé. Courtois et diplomate comme je le suis, je ne suis pas retourné lui foutre mon poing sur la gueule. Et puis en plus, j'ai pas la carrure.

Devant la salle qui diffusait les extraits du film, j'ai cru reconnaître Emma.
Mais bon, pas d'humeur à papoter avec des journaliste aigris ou pas.
En plus elle était blonde et plus mince que la seule fois où j'ai pu la croiser.
Mais les gens changent en 2 ans.
Par exemple, je ne portais pas de chapeau il y a deux ans.
C'est passionnant.

Les extraits, c'était pas mal.
La salle aussi.
Pas trop de monde en plus.
Pas de gros boeuf pour me saouler avec des discussions sans intérêt sur tel ou tel film.
J'ai juste entendu que Gomez et Tavarès 2 c'était très nul.
Mais celui qui tenant ces propos tenait à la main un casque de moto tendance.
A prendre avec des pincettes donc.
Y'a Shia LaBeouf dans le film.
Avec sa gueule de geek, je me demande comment il peut prendre en stop une brunette affriolante (qui en plus, se tape le chef de l'équipe de Foot).
Surréaliste.
Ca doit être sa caisse Autobot qui fait ça.
Et en plus, la brunette, elle est férue de mécanique.
On est donc dans un film.
Ou dans un film de Rob Cohen pour être plus précis.
Mais non !
C'est Michael !
Et donc ça pète.
Tant mieux, c'est pour ça qu'on est venu.
Ca, et se changer les idées.
Oui, donc en gros, c'est sympa, mais les CGI n'étaient pas finalisés, et puis c'était assez court, sans compter que la fin des quatre séquences diffusées n'ont pas été montrées aux pékins présents dans la salle.

Bon, après, me suis cassé.
Pas envie de voir un film (en entier, ou pas).
Pas d'humeur.

La vie ça fait faire popo.

J'adore la dernière phrase.

Celui qui a censuré ce mot est un génie.

Je prefere la bouse verte avec Keanu ... Mais bon ... alors developpons Ensemble c'est tout ... La rencontre de quatre destins croisés qui vont finir par s'apprivoiser, se connaître, s'aimer, vivre sous le même toit.
(merky Allociné). Apres avoir lu le 1er Anna Gavalda, je me suis dis que j'allais voir ce film qui est tiré d'un autre de ses livres. Alors en effet c'est frais, c'est tendre, ca fleure bon le printemps et les petits ziozios mais c'est du déjà vu, ca manque cruellement d'originalité je trouve. Dommage

N'y avait-il pas déjà un post à ce sujet ? ^^

Créé par l'innnérarrable lpgc.
Mais bon je préfère de loin celui-ci.

J'ai vu Entre le ciel et l'enfer.

"Nouveau" chef-d'oeuvre signé Kurosawa, Entre... est à mi-chemin entre un grand polar à la française et à l'américaine. Débutant avec un huis-clot absolument passionant et se concluant une sorte de course-poursuite dans les rues de Tokyo, Kurosawa se permet encore une fois de sonder les tréfonds de l'Homme en conférant une âme à la pire des ordures.
Le cri du coeur final est absolument déchirant.

Tu l'as vu en salle ?

A moins que je ne change le titre du topic ?

Bad Taste a écrit:

A moins que je ne change le titre du topic ?

ou alors tu fais un autre topic du même genre, dans la catégorie sandage, dans la grande section DVD

Je fais un copié-collé dans la section correspondante. Mais ça porte tout de même à confusion de ne pas avoir le terme "au cinéma" dans le titre.

Avant la soirée politique prévue à la TV, j'ai eu envie de me faire un petit popcorn movie au Gaumont du coin. J'ai hésité entre Shooter, Sunshine et Dangereuse séduction. J'ai finalement opté pour le dernier, mon avatar vous expliquera pourquoi...

Désolé mais je vous fait un copier/coller de la critique que j'ai posté sur Ecranlarge.

Pour ceux qui ont la flegme je leur dirais:
"n'ayez pas une confiance absolue en la presse et ses critiques peu engageantes car le film est moins banal qu'il en a l'air et vous surprendra".

Ma critique du film Dangereuse Séduction :

Très agréable surprise que ce thriller de J.Foley. Sous ses dehors balourd, dû à une promo centrée uniquement sur le face à face entre les deux sex symbol que sont Bruce Willis et Halle Berry, le long métrage révèle son lot de surprises.
La trame initiale va en effet rapidement se densifier, grâce entre autres à Giovani Ribisi qui compose un personnage à plusieurs facettes. Les ramifications qui apparaissent progressivement mènent à un twist final qui en surprendra plus d'un même s'il y aura toujours de gros malins qui prétendront avoir flairé le coup dès le début. On ne peut nier que la fin du métrage est des plus réussies même si la comparer au dénouement d'Usual Suspect serait excessif.

L'autre satisfaction majeure est l'énergie et la crédibilité affichée par Halle Berry qui est habitée par son rôle. On se souvient alors qu'avant de jouer les mannequins aphones dans X-Men ou Opération Espadon, la jeune femme possède un talent certain en plus d'une superbe plastique.

Tout n'est toutefois pas parfait. La réalisation d'ensemble demeure, elle, assez conventionnelle voire plate. Foley n'a pas prit de risque sur ce plan et c'est assez dommage.
D'autre part, le milieu du film accuse quelques longueurs et bavardages inutiles avant, heureusement, de redémarrer brusquement dans son dernier quart. Le deccrochage est possible.

En fin de compte le film remplit sa mission: impliquer le spectateur dans une traque tendue; le surprendre et le faire réfléchir sur un thème trop peu abordé au regard de son actualité et des conséquences qu'il entraîne, le dédoublement de personnalité induit par la vie virtuelle.

7/10

Samedi, je me suis enfin décidée à aller voir "Le scaphandre et le papillon" (Palme de la mise en scène pour Julian Schnabel) après m'être posée pas mal de questions.

Avec : Mathieu Amalric (Jean-Dominique Bauby), Emmanuelle Seigner (Céline), Marie-Josée Croze (Henriette), Anne Consigny (Claude), Patrick Chesnais (Dr Lepage), Niels Arestrup (Roussin), Jean-Pierre Cassel (le prêtre), Marina Hands (Joséphine), Emma de Caunes (l'impératrice), ...

Adapté du livre de Jean-Dominique Bauby

Synopsis : Le 8 décembre 1995, un accident vasculaire brutal a plongé Jean-Dominique Bauby, journaliste et père de deux enfants, dans un coma profond. Quand il en sortit, toutes ses fonctions motrices étaient détériorées. Atteint de ce que la médecine appelle le "locked-in syndrome", il ne pouvait plus bouger, parler ni même respirer sans assistance.
Dans ce corps inerte, seul un oeil bouge. Cet oeil, devient son lien avec le monde, avec les autres, avec la vie. Il cligne une fois pour dire "oui", deux fois pour dire "non". Avec son oeil, il arrête l'attention de son visiteur sur les lettres de l'alphabet qu'on lui dicte et forme des mots, des phrases, des pages entières...
Avec son oeil, il écrit ce livre, Le Scaphandre et le papillon, dont chaque matin pendant des semaines, il a mémorisé les phrases avant de les dicter...

Le film est assez dur, éprouvant et bouleversant dont on sort complètement retourné...et Mathieu Amalric y est en grande partie pour quelque chose. Son interprétation sonne juste alors qu'il avait peur d'être un "guignol". Il était favori pour la Palme d'Interprétation - qu'il méritait amplement - mais son talent n'a pas été récompensé. C'est dommage, il aurait pu arrêter* (voir plus bas) sur une bonne note - quoique le film suffit à prouver que c'est un excellent acteur.

C'est une oeuvre atypique, humainement et cinématographiquement parlant (j'sais pas si ça se dit, mais c'est pas grave ) mêlant habilement le quotidien, les rêves et la vie d'avant l'accident.
La mise en scène, troublante et déconcertante au premier abord, car en vue subjective, avec les pensées de Jean-Dominique Bauby en voix off car il ne peut communiquer qu'en clignant d'une paupière.
Les quelques touches d'humour - souvent cynique - allègent un peu le sujet, fort heureusement, nous faisant passer des larmes au rire en quelques secondes, n'enlevant rien à la "beauté" mais au contraire, allégeant un peu la gravité du film.

Ce n'est pas un film larmoyant, juste une belle et terrible leçon de vie. En sortant de ce film, on voit plus la vie de la même façon et on se réjouit d'un petit rien. Et je crois qu'il est tout simplement impossible de ne pas être ému par ce film, à moins d'avoir un coeur de pierre.


* Mathieu Amalric a déclaré à la conférence de presse du "Scaphandre et du Papillon" qu'il mettait un terme à sa carrière d'acteur (du moins provisoirement), le temps de mener à bien le projet de son 6e long métrage en tant que réalisateur pour lequel il se bat depuis plusieurs années.

Ca donne envie !
Merci pour cet avis Anne_so !

Beaucoup aimé Dangereuse Séduction bon ok pour la fin ...

Viens de voir Coeurs Perdus, peu épargné par les critiques. Bon c'est pas terrible mais il n'y a pas de quoi crier au scandale non plus.
Je pense surtout à la critique extrêmement négative sur le site EL...du n'importe quoi à mon avis. (http://www.ecranlarge.com/movie_review-read-1704-9798.php)

Si il y a des films a descendre ce n'est certainement pas le cas ici. L'auteur avait du fiel à lâcher...

Un ptit 5/10, belle reconstitution, joli casting mais intrigue bancale et rythme bedonnant.

La Faille : un thriller efficace qui ne revolutionnera pas le genre. Je le conseille quand meme plus en dvd qu'au ciné meme si je n'ai aucuns reproches à faire, de bons acteurs, un bon scenar, une bonne mise en scene. Tout est bon mais rien de bien revolutionnaire

2 heures moins le quart avant jésus christ : je l'avais jamais vu, c'est bien sympa.

GoobY13 a écrit:

2 heures moins le quart avant jésus christ : je l'avais jamais vu, c'est bien sympa.

Tu peux pas faire mieux que cette bouillabaisse ?

Non, tu veux quoi de plus ?

Un développement.
STP.
Thx.

Pff, préfère pas poster du coup ^^

Tout le monde l'a vu en plus. Donc, un dev' de quelqu'un de normal qui ne se prend pas pour un cinéphile :

Film sympathique est marrant. Coluche reste Coluche dans un rôle de mécanicien/pharaon d'Egypte.
César tout puissant ridiculisé en façon cage aux folles. Le tout dans un décors d'époque avec des outils moderne comme la tv.
Le tout donne un film agréable a regarder, pas un monument mais un tres bon film.

Et oui je sais, suis po dans le bon topic, mais le titre m'a trompé comme je n'ai pas regardé sa section...

Pusher 1 et 2.
Deux films qui se rejoignent dans la thématique générale, à savoir le milieu du crime organisé au Danemark, mais qui diffèrent pas leur traitement et leur histoire.
Alors que le premier raconte l'histoire d'un mafieux qui tente de ne pas chuter trop bas, le second montre un Homme ambitieux tentant d'arriver le plus haut possible.
De même, le final du premier est d'un glacial absolu et celui de Pusher II reste d'un optimisme à toute épreuve, où la relation entre un père et son fils laisse entrevoir un avenir heureux.
Là ou la mât blesse, c'est peut-être dans le rythme qui décourage un peu pour la suite du métrage, quelqu'il soit. Mais Pusher I et II réservent tellement leurs lots de surprises et de bonnes scènes qu'il serait vraiment dommage de passer à côté. Et puis, vu le prix pour la trilogie...

Youn a écrit:

Là ou la mât blesse

C'est intentionnel ce néologisme expressionnel ?

Ben en fait je sais jamais si on dit "mât ou bas"...

Bref.

Ni l'un ni l'autre on dit baT :
"L’expression apparaît dès le milieu du XVe siècle en référence aux bâts que l’on posait sur le dos des mulets et sur lesquels on accrochait les charges qu’ils transportaient. Ainsi, les bêtes dont le bât était mal fixé ou trop chargé avaient des plaies qui les faisaient souffrir. Dire "C’est là que le bât blesse" revient donc à dire que l’on a trouvé la cause d’une souffrance (psychologique en général), ou le point sensible d’une personne. "

J'ai vu mon erreur aujourd'hui dans Spider-Man : Les incontournables n° 4.

Comparé à la culture de Despe, je fais clairement pitié.