Juno (Jason Reitman - 2007)

Juno
Date de sortie : 06 Février 2008
Réalisé par Jason Reitman
Avec Ellen Page, Michael Cera, Jennifer Garner...
Film américain, canadien, hongrois.
Genre : Comédie, Drame
Durée : 1h 31min.
Année de production : 2007
Distribué par Twentieth Century Fox France

Synopsis
Juno McGuff, 16 ans, est une jeune fille qui n'a pas la langue dans sa poche mais qui, sous ses airs de dure, se cherche comme toutes les adolescentes de son âge. Alors que la plupart de ses copines de lycée passent leur temps sur Internet ou au centre commercial, Juno ne fait rien comme les autres. C'est ainsi qu'un jour où elle s'ennuie, elle couche avec Bleeker, garçon aussi charmant que peu prétentieux.
Mais quand elle tombe enceinte accidentellement, elle décide de trouver le couple de parents adoptifs idéal qui pourra s'occuper de son bébé. Avec l'aide de sa meilleure amie Leah, elle repère dans les petites annonces du journal local Mark et Vanessa Loring qui rêvent d'adopter leur premier enfant. Soutenue par sa famille, Juno fait la connaissance des Loring. Tandis que le terme de sa grossesse approche, Juno va devoir faire preuve de maturité et de courage...



J'attends beaucoup !
Parce que Ellen Page.
Parce que film indé qui sent aussi bon que Little Miss Sunshine.
Parce que Ellen Page.
Parce que beau casting.
Parce que Ellen Page.
Parce que Michael Cera et Jason Bateman (parce que Arrested Development, donc).
Parce que Ellen Page.
Parce que le sujet me parle. Le film a été écrit par Diablo Cody, ex-stripteaseuse, puis romancière, s'étant inspiré de la vie de de personnes qu'elle a rencontré. Premier scénario, et elle est déjà courtisée par des grands noms d'Hollywood, en tête desquels Spielberg. Elle écrit également le script du prochain film de Karyn Kusama (Girlfight, Aeon Flux), qui mettra en scène... Megan Fox.
Parce que Ellen Page.

Et que penses-tu d'Ellen Page :$?:

Bah ça va, j'aime bien.

Ça roule pour Ellen Page

Ellen Page , héroïne de Hard Candy et Juno (sensation du moment aux États-Unis), vient d'être engagée par Drew Barrymore pour tenir le rôle principal de son premier long-métrage. Dans Whip it, la jeune actrice interprètera une ado sarcastique qui se met en tête de participer à une course féminine de roller au Texas.

Avant de se lancer dans la fiction ciné, Barrymore avait réalisé quelques documentaires pour la télévision, s'intéressant tous à la condition des jeunes américains. Le dernier en date analysait leur vision de la politique et leur façon de voter.

Ca a l'air d'être une grosse chieuse.

J'aime les chieuses.

Des claques, oui.

J'aime les claques.


Hum...


En fait, non, pas trop.

Paris 14h : Juno bat Rambo et Cloverfield

Juno créé la surprise en arrivant ex-aequo avec Cloverfield mais avec un plus petit nombre de copies :

01- Juno : 1 679 entrées (14 copies)
02- Cloverfield : 1 679 entrées (18 copies)
03- John Rambo : 1 458 entrées (12 copies)
04- Les Liens du sang : 1 275 entrées (22 copies)
05- P.S. : I love you : 779 entrées (12 copies)
06- Ca se soigne ? : 435 entrées (9 copies)
07- La Fabrique de sentiments : 348 entrées (11 copies)
08- Les Faussaires: 303 entrées (8 copies)
09- Le Bannissement : 109 entrées (7 copies)
10- Brave Story : 49 entrées (5 copies)
11- L'Esprit de la ruche : 36 entrées (2 copies)
12- Useless : 21 entrées (1 copie)
13- Le Brigand bien-aimé : 21 entrées (1 copie)
14- Muksin : 8 entrées (1 copie)

Bad Taste a écrit:

01- Juno : 1 679 entrées (14 copies)
02- Cloverfield : 1 679 entrées (18 copies)
03- John Rambo : 1 458 entrées (12 copies)
04- Les Liens du sang : 1 275 entrées (22 copies)
05- P.S. : I love you : 779 entrées (12 copies)
06- Ca se soigne ? : 435 entrées (9 copies)
07- La Fabrique de sentiments : 348 entrées (11 copies)
08- Les Faussaires: 303 entrées (8 copies)
09- Le Bannissement : 109 entrées (7 copies)
10- Brave Story : 49 entrées (5 copies)
11- L'Esprit de la ruche : 36 entrées (2 copies)
12- Useless : 21 entrées (1 copie)
13- Le Brigand bien-aimé : 21 entrées (1 copie)
14- Muksin : 8 entrées (1 copie)

encore des films à aller voir

Et Rambo, il sent le paté ?

Bon, Mighty, tu te calmes maintenant.

Jason Reitman, avec Thank You For Smoking, avait déjà prouvé sa capacité à traiter de sujets sérieux ou graves avec une certaine forme d'humour, d'intelligente légèreté. Il renouvelle cette réussite et la perfectionne dans Juno. Le sujet de départ, pourtant, c'est du lourd: une ado de 16 ans tombe enceinte et décide de garder l'enfant pour le faire adopter.
Oui, mais voilà: Juno McGuff, 1m60 à tout casser, c'est une mini tornade d'insouciance et de force mêlées, de répliques qui tuent, de pragmatisme bardé de sensibilité. Elle se prend en charge, règle l'adoption comme du papier à musique, remet le jeune père à sa place non sans dûreté et devient comme popotin et chemise avec le grand gamin qu'est le papa adoptif. Les coups dûrs, elle les encaisse sans broncher. Et même si, à mesure que l'échéance des neuf mois approche, les choses commencent à se gâter, Juno ne se laisse jamais démonter bien longtemps.
C'est pour ça que ce film est un vrai bonheur: l'histoire est jolie, optimiste, colorée et bricolée comme le sont certaines adolescences qu'on ne montre que trop rarement au cinéma. Ellen Paige est géniale dans le rôle d'une Juno qui ne peut rien faire comme tout le monde, au point qu'elle découvre la séduction et l'amour seulement après la grossesse. Le reste du casting est à la hauteur de sa prestation: Jennifer Garner et Jason Bateman, qui jouent des parents adoptifs plus ou moins responsables, agacent puis attendrissent tour à tour. Michael Cerra s'en tire aussi très bien en ado un peu trop petit pour son grand corps.
La mise en scène n'est pas en reste, la photographie toute mignonne et la bande originale tout à fait .

Bien sûr, on pourra trouver tout ça léger, caricatural, mais à mon avis Juno est à voir, non pas parce que c'est un chef d'oeuvre, mais parce que c'est une agréable bouffée d'air frais.

9/10 et up

Spark a écrit:

[...] et devient comme popotin et chemise [...]

Bad Taste a écrit:

Spark a écrit:

[...] et devient comme popotin et chemise [...]

Beau travail, la censure!

Bon, et bien tout pas pareil que Spark.

Juno, c'est typiquement le genre de film trop écrit, comme du papier à musique, qui ne fonctionne pas.
Chaque dialogue, chaque situation, sent l'écriture millimétrée, qui veut faire mouche.
Un gag sur deux est amusant, mais ne fonctionne que si on est vraiment bon public.
Ce n'est ni touchant, ni émouvant, ni mignon, c'est juste calculé pour taper dans les cœurs.
Totalement désincarné, donc.
Et froid. On ressent une distance dans le détachement dont fait preuve Ellen Page pour paraître cool, tellement cool, que ça en devient gerbant.

Un personnage factice, qui balance des phrases aussi assassines, ça n'existe pas sans un bon scénariste qui la suit à la trace.
Juno (le personnage) en devient énervante et au lieu de vouloir la prendre dans nos bras, on préférerait lui foutre une bonne claque, pour lui apprendre les bonnes manières (même si on en a rien à foutre des bonnes manières... ).

Horripilant dans sa manière mécanique d'aligner bon mot sur bon mot, le film étale une galerie de personnages bohèmes également têtes à claques, dont les répliques sont également trop écrites pour faire mouche.
Jennifer Garner s'en sort bien, Jason Bateman est transparent, J.K. Simmons égal à lui-même, donc outrancier, Michael Cera moins à l'aise que dans Superbad...

Aucun génie dans la mise en scène, des situations censées être géniales (les Tic Tac dans la boîte aux lettres, le mot laissé sur le pas de la porte...), qui tombent à plat.

En plus, Juno lâche une phrase du genre : "Wizard of gore c'est mieux que Suspiria !". Nom de dieu...
Bon, par contre elle adore Argento (jusqu'à la fameuse phrase ), écoute les Stooges, Patti Smith, et conchie Sonic Youth, donc ça va.

Aucune adhésion au film, malgré un pitch et une actrice principale qui m'enthousiasmaient.
Sauf qu'un film, il faut lui laisser de l'oxygène pour respirer, et ne pas l'enfermer dans une systématisation de l'écriture parfaite.

4/10 (pour les beaux yeux d'Elen Page, parce qu'on ne se refait pas)

La critique de Bad Taste me pousse à pousser mon petit cris de moineau

Je me siturais entre Bad et Spark. J'ai bien aimé le film mais quelques points mon agacé.

Déja, et même si c'est un film (et que c'est faux et blablabla), je trouve que de faire passer une grosse d'adolescente pour un truc super cool, c'est déja pas malin et en plus c'est faux dans 95% des cas (et les 5% restant le regrette 5 ans aprés). Donc déja ça , ça m'a énérvé. Ensuite, les parents trop cool qui ne disent rien, le pére adoptif qui "glande" toute la journée mais habite dans une fichue de maison. Ensuite comme la dit Bad (mais j'avais remarqué avant merci) le film tiens debout uniquement grace à ses dialogues, ça parle tout le temps, alors ok c'est superbement écrit (on s'agace même de voir une gamine de cette age d'avoir une telle répartit alors j'en suis encore à "toi même" ou "c'est toi ouai") mais bon il faut aussi que ça suive au niveau des images et de l'action. Et c'est dommage, parce que les scénes où personne ne parle, ce sont des beaux passages dans le film, notament quand Jennifer Garner s'approche du ventre, ou quand Juno traverse tout les autres lycéens.
Questions comédiens, je les aient trouvés tous très bon, même Ellen Page, même si il va lui falloir d'autres rôles, plus surprenant je pense, plutôt que l'adolescente super cool et inteligente (Hard Candy et Juno sont des rôles je trouve pas si éloigné).
Bon aprés, la B.O est sympathique, je ne me suis pas ennuyé durant le film et j'ai même passé un bon moment, ce n'est qu'aprés, quand on y pense, que vienne en tête tous ces défauts. J'avais mis 8/10 il y a une semaine, depuis je verais ma note un peu à la baisse, plus proche d'un 7/10 voir 6,5/10

Tu soulignes une chose importante, que j'ai lue ailleurs : Ellen Page commence à faire du Ellen Page.
Elle a compris ce qui plaît chez elle, ce qui plaît dans ses interprétations de personnages.
Elle commence à en jouer, et si elle ne fait pas attention, elle va tourner en rond.

Je suis d'accord avec toi pour dire que la scène où Jennifer Garner pose ses mains sur le ventre d'Ellen Page est un beau passage du film, sauf qu'il est entouré de toute cette énergie lassante qui parcourt le film (Ellen Page crie, elle se calme quand Jenn touche son ventre, et elle se remet à crier une fois que c'est fini... Lourd. ).
Par contre, la scène où Ellen traverse le couloir, c'est du déjà vu mille fois, notamment chez Gus Van Sant. Bof, bof, quoi.

Et enfin, c'est clair qu'être enceinte à 16 ans c'est tout sauf cool.
Je veux bien qu'on puisse prendre cette situation sur le ton d'un décalage avec la réalité, mais il faut y mettre les formes (autres que celles du ventre bien rond ).
Or, ici, la forme ne sert pas le fond, je trouve.

Et puis à 16 ans, on a pas ce type de réparties, et puis, et puis...
Et puis zut.
Je suis super déçu, c'est tout.

Mais chui toujours amoureux d'Ellen Page, hein.

En lisant vos critiques, c'est vrai qu'on peut voir tout ça sous un autre angle. C'en est même déstabilisant ^^.
Cependant, je reste sur mes positions, mais en modifiant un peu ce que j'ai dit dans ma première critique. C'est peut-être un peu tiré par les cheveux, comme raisonnement, mais je crois que justement, j'ai aimé ce film pour ce que vous (Badou plus particulièrement, mais la même idée transparaît chez JTM) avez rejeté.
Ça a vraiment été un plaisir pour moi de regarder Juno, parce que j'en ai parfois un peu marre de voir des films sur des ados coincés, sombres, tourmentés, qui se rebellent contre leurs parents, cèdent à toutes les tentations et souffrent le martyr. Bien sûr, aucun message ne passe, finalement, mais se pourrait-il que ce ne soit justement pas un "film à message", et plutôt une comédie à partir d'un sujet grave? Ça avait déjà été le cas pour Thank you for smoking, je trouve, et personne n'a râlé parce que Jason Reitman ne montrait pas de poumons cancéreux pour prouver que fumer des dizaines d'années, c'est pas cool.
Les dialogues fignolés, les archétypes, les décors colorés et la jolie petite bande son... et puis le générique de début, sorte de dessin animé, sont pour moi autant d'indices qui montrent quel genre d'effet Reitman voulait produire. Je ne pense pas qu'il prétend dépeindre la réalité au sens sinistre du terme (d'où le fait que j'écarte volontiers l'argument "manque de réalisme"), ni un décalage parodique pour entraîner chez le spectateur une prise de conscience par le rire. C'est juste un autre genre de comédie, pas moraliste, pas absurde, pas potache, juste un truc optimiste, pour donner le sourire de manière originale.

C'est peut être pas très clair, tout ce développement. Je suis prête à le reformuler s'il s'avère que je suis incompréhensible ^^

Tu es tout à fait compréhensible, ne t'inquiètes pas.

J'en profite pour rebondir. (je suis trop marrant)
Ce que toi tu as aimé dans le film, et notamment le fait qu'on retrouve dans Juno tous les aspects (et donc les défauts) d'un film indé, c'est ce qui me gêne également.
Le générique en dessin animé, c'est tellement du vu et revu dans le cinéma indépendant américain, que ça m'a tout de suite mis la puce à l'oreille.
Et dés la première scène d'exposition, où l'on a l'impression qu'on va assister à un drame familial intense, jusqu'à ce que cet effet soit désamorcé par la grande rasade de Sunny Delight bue par Juno, c'est d'un cliché absolu, qui m'énerve beaucoup.

En gros, ce que je reproche à Juno, c'est justement son manque d'originalité, là où tout le monde crie au génie du scénario.
C'est pataud, maladroit, trop écrit (je le dis et le répète), trop parfait dans son déroulment.
Peu importe que ça ne soit pas réaliste, ce n'est pas forcément ce que je demande à un film, mais Juno ne m'a pas transporté, ne m'a pas fait rêver, ne m'a pas ému, ne m'a pas beaucoup fait rire, ce qui étaient les buts du film, il faut bien l'avouer.

Le traitement de l'adolescence sur un ton plutôt léger, ça peut donner de très bons films (Breakfast club, Fucking Åmål...), et on n'est pas toujours obligé de parler de cette période de la vie d'un être humain sur un ton soit trop grave, soit trop pipi-caca-prout.
Un juste milieu existe, mais est rarement servi en grands films.
Juno se plante, malheureusement, la faute à un script trop pensé, et qui ne respire pas assez la liberté.

Peut-être que je ne m'y connais pas assez en cinéma indépendant américain pour avoir cette impression de déjà-vu, d'où mon agréable surprise!

Tant mieux !
Comme ça tu peux apprécier ce film qui divise pas mal.

Je le reverrai bien lors de sa sortie dvd, pour le retrouver en dehors du rush des Oscars, du buzz autour de la scénariste ex-strip-teaseuse, et des retours autour de la prestation de la toute mimi charmante, "miami" Ellen Page.

Je suis très curieux de savoir ce que nico pensera du film...

Je me suis fait attendre mais j'attendais de l'avoir vu une deuxième fois pour donner mon avis

Après Little Miss Sunshine il y a 2 ans, voici le retour du petit film indépendant américain comme je les aime
C’est avec le plus grand des plaisirs que j’ai suivi le destin de cette ado enceinte qui fait face à ses problèmes avec la plus grande « coolitude » qui soit.

Ellen Page y est remarquable et s’annonce déjà comme une future grande actrice …
A ses côtés, on retrouve une galerie de seconds rôles très réussis : Michael Cera dans le rôle du petit ami, J.K Simmons dans le rôle du père, Allison Janney dans le rôle de la belle-mère, Jennifer Garner et Jason Bateman dans le rôle des parents adoptifs : tous les acteurs sont au diapason et nous livrent une très belle interprétation collective.

Bien sûr, on pourra trouver le personnage de Juno peu réaliste : comment peut-on vivre ce genre d’évènement avec tant de décontraction à cet âge là ?
Mais est-ce vraiment important ? La jeune scénariste Diablo Cody nous livre un scénario parfaitement maitrisé dans lequel elle semble fantasmer ses propres expériences …
Elle a bien mérité son oscar du meilleur scénario original !

Au final, il se dégage une vraie légèreté de ce film alors que le sujet ne semblait pas prédisposé à ce ton.
On ressort du film avec le sentiment d’avoir passé un bon moment en compagnie de cette jeune fille hors-norme et c’est bien là le principal.

Mention spéciale au générique de début qui nous permet d'entrer tout de suite dans cet univers

Ma note : 8/10


Autrement dit, tout ce que Badou n'a pas aimé, j'ai aimé !
Et je rassure Spark : je m'y connais un peu en cinéma indépendant américain et ça n'a pas été vu tant de fois que ça et pas forcément en mieux.
Après, ça ne reste qu'un avis perso ...

nicofromtheblock a écrit:

Autrement dit, tout ce que Badou n'a pas aimé, j'ai aimé !
Et je rassure Spark : je m'y connais un peu en cinéma indépendant américain et ça n'a pas été vu tant de fois que ça et pas forcément en mieux.
Après, ça ne reste qu'un avis perso ...

Pourquoi faut-il toujours se justifier de donner son avis ?
C'est ton avis, tu penses tout ce que tu as écris, et c'est tant mieux !
Heureusement que tu défends ton bifsteak face à ceux qui n'ont pas aimé cette meringue absolument pas sincère.

Par rapport à ce que tu dis, je trouve tous les acteurs trop parfaits dans leurs rôles respectifs, Ellen Page mérite des baffes, tant elle paraît détachée de la situation, le scénario est trop parfait lui aussi, aucune prise de risque réelle dans les enjeux dramatiques, et pour l'après-générique de fin (tout est beau, tout le monde il est gentil, et tout se finit super bien....), je n'ai pas trouvé le film léger, il est au contraire très lourd dans son déballage de clichés éculés et attendus, le générique de début fait partie de ces petites facilités des productions indépendantes dont Hollywood a le secret...

En bref, on dirait un film indé de studio, trop pensé pour les récompenses, les éloges des critiques et pour tenter de surpasser Little Miss Sunshine dans la catégorie "Film indé qui rameute les foules".
J'ai une nette préférence pour Little Miss Sunshine, lui aussi parfois énervant, mais autrement plus honnête dans son écriture.


Bon, je retourne à ma correction de ma manche de caps.