La Vengeance dans la peau (Paul Greengrass - 2007)

LA VENGEANCE DANS LA PEAU
Date de sortie : 12 Septembre 2007
Réalisé par Paul Greengrass
Avec Matt Damon, Julia Stiles, David Strathairn
Film américain.
Genre : Action, Aventure, Thriller, Espionnage
Année de production : 2007
Titre original : The Bourne Ultimatum
Distribué par Paramount Pictures France

Fiches Film :
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=59809.html
http://www.ecranlarge.com/movies-details-3120.php
http://www.imdb.com/title/tt0440963/
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Vengeance_dans_la_peau_%28film%29

Gael Garcia Bernal méchant de "The Bourne Ultimatum" ?



Tournages - mardi 3 octobre 2006

L'acteur mexicain Gael Garcia Bernal devrait être le méchant de service de "The Bourne ultimatum", troisième volet de la saga d'espionnage emmenée par Matt Damon.

L'ultimatum de Gael Garcia Bernal.
L'acteur mexicain, actuellement à l'affiche de La Science des rêves et bientôt au générique de Babel, vient d'être contacté afin d'incarner le méchant de The Bourne Ultimatum, troisième volet de la saga d'espionnage tirée des livres de Robert Ludlum, dont le tournage vient de commencer au Maroc.
Si les tractations entre le comédien et Universal Pictures n'ont pas encore débuté, les choses pourraient clairement s'accélérer dans les prochains jours.
Après La Mémoire dans la peau et La Mort dans la peau, The Bourne Ultimatum met une nouvelle fois en vedette Matt Damon dans la peau du tourmenté agent de la CIA Jason Bourne.
Réalisé par Paul Greengrass, déjà aux commandes du précédent opus, The Bourne Ultimatum sortira en France le 12 septembre 2007.

Clément Cuyer avec The Hollywood Reporter

Lien Allociné

Fiche Film

Bande-annonce



Bande-annonce

OOO je me disait justement que je le verrais bien en mechant depuis la mauvaise éducation Yessss

Bande-annonce : "La Vengeance dans la peau"
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18404880.html




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1er jour US : Jason Bourne 3

Le troisième volet des aventures de Jason Bourne réalise le meilleur démarrage de la série et devrait dépasser les 200 millions en fin de carrière. Pour mémoire, rappelons que Casino Royale avait rapporté à peu près 14 millions de dollars le jour de sa sortie, pour terminer à 167,4 millions.

Vendredi 3 août :

1- La Vengeance dans la peau : 16,6 millions de dollars
2- Les Simpson : 10,6 millions de dollars (cumul : 111 millions)
3- Underdog : 4,1 millions de dollars
4- Quand Chuck rencontre Larry : 3,3 millions de dollars (cumul : 84,5 millions)
5- Hairspray : 3 millions de dollars (cumul : 72,6 millions)
6- Harry Potter 5 : 2,6 millions de dollars (cumul : 254,2 millions)

Didier Verdurand pour Ecran Large

Vivement !

Citation :

Quand Paul Greengrass ne s'occupe pas de films engagés (tels que le frissonant "Bloody Sunday"), c'est qu'il est alors en train d'aider un certain Jason Bourne a retrouver sa mémoire.
Et cette fois-ci, dans ce troisième opus, il est bien décidé à la retrouver, notre "discret" agent secret, toujours incarné par Matt Damon.

Très légèrement inspirée du livre de Robert Ludlum, cette "suite" directe à "La Mort dans la peau" se révèle être un véritable marathon, aussi bien pour notre héros "anonyme" que pour les yeux des spectateurs. Car la règle d'or de Greengrass, c'est d'épater tout en gardant un aspect incroyablement réaliste aux scènes. Et c'est ainsi que l'on obtient des scènes de combats incroyablements brutaux (bien que peu sanglantes) et à une série de courses poursuites ébourrifantes, prenant lieux à Tanger, à New-York (mais pas en Papouasie).

Autant dire qu'avec ces arguments la, le retour à l'écran de Bourne était plus qu'attendu, autant par les fans que par l'acteur principal, qui semble s'amuser, comme dans les deux autres opus (et dans tout ses films d'ailleurs). Il faut dire que le scenario est plutôt chargé, et se déroule avec une cohérence éfficace et un enchainement incroyable (malgré une baisse de tension vers le début du film, heureusement rattrapée par la formidable séquence au Maroc), reprenant en cause tout les élements des deux films précédants.

De nouveaux acteurs s'ajoutent au casting, parmi lesquels David Strathairn (épatant en chef de section manipulateur), Edgar Ramirez (en tueur sans états d'âme), Paddy Considine (en journaliste anglais), et la courte apparition de Daniel Brühl. Ce film marque aussi les retrouvailles avec Joan Allen et Julia Stiles (plus alliées que jamais).

Bref, du divertissement d'action passionant et intelligent, marquant peut-être notre dernière rencontre avec une nouvelle icone du cinema d'espionnage... Peut-être ?

:Star: :Star: :Star: / :Star: :Star: :Star: :Star:

Bon alors desolée mais moi po avoir compris scenario du film, il s'enfuis y a de l'action, revirement de situation y a de l'action, scene d'amour y a de l'action ... Bon j'ai bien compris l'action mais j'ai pas compris le film

Je vais le voir ce soir

Jason Bourne c'est mon copain

il casse pleins de bras, il tatane pleins de tronches, il détruit pleins de voitures, il tombe de pleins de toits, il fait de la moto. Et ce, du début à la fin.

méga-poutrant

Elle est nulle ta critique.

bad, petite friture imberbe a écrit:

La mémoire dans la peau : Ça poutre. 8/10
La mort dans la peau : Ça poutre. 8/10

Ash a écrit:

bad, petite friture imberbe

Spoiler:

Des cascades ! De l'action ! De la baston ! et des mystères résolus ! C'est trop de la boulette

Spoiler:

Oui enfin tout le monde parle de l'action et personne ne m'explique le scenar

Jason Bourne veut savoir qui il est.
Pour le découvrir, il casse des bras.
C'est simple pourtant.

Je m'attendait à un film poutrant. Douce désillusion.

Malgré une structure reconnue (action - réflexion - action - réflexion ), le film demeure étrangement froid, sobre et vide. Le démesuré (cascades) côtoit le minuscule (scénario-acteurs) et l'on passe de l'enthousiasme à l'ennui à une vitesse déconcertante.

Jason, tu m'as déçu mon pote.

Petit B.O. à la bourre :

Paris 14h : Bourne 3
http://www.ecranlarge.com/article-details-6885.php

Le Test à réussi, la conclusion est formelle : Quand Bad s'pouet et qu'il a rien à dire, il va sur Ecran Large.

Ah non, pas du tout.
C'est juste que ces derniers temps, entre le FRCD et mes recherches d'emploi, je n'ai posté quasiment aucune news provenant d'EL ou d'ailleurs.
Je rattrape ce retard, c'est tout.

Up.

Faut que j'écrive une belle critique pour ce très bon film d'espionnage (comme les deux premiers, en fait).

Moi j'ai été relativement déçu : j'aimais bien les deux premiers et leur hyper-paranoïa des services secrets tout-puissants qui n'ont d'ennemis qu'eux-mêmes, mais là trop c'est trop. Bourne est le plus fort, le plus vif, le plus intelligent, et rien ne le met en échec. En pleine course-poursuite, il repère le terrain à la vitesse de l'éclair, sait quels objets utiliser, échafaude une stratégie tout en courant et en se battant. Un peu exagéré, le super-man.

Et surtout ce que je trouve frustrant c'est ce parti-pris de la caméra parkinsonienne : aucun plan fixe, aucune lisibilité.
Très pénible à regarder.

L'omniprésence de la caméra portée à l'épaule est certes assez déstabilisante, mais c'est ce qui faisait déjà l'intérêt et le charme du deuxième (et meilleur) épisode.
Ce n'est certes pas très lisible, mais il y a une vraie dynamique, un vrai sens du chaos, qui transpire à l'écran.
Et le fait que Bourne soit indestructible est ici porté à son paroxysme.
Ce n'est plus un être humain, c'est un surhomme, une machine à baston, un super-calculateur invincible.
Ça déshumanise peut-être le personnage lors des scènes d'action, mais par contraste, les scènes plus intimes en sont d'autant plus fortes, surtout lors du final, aux multiples révélations, où l'on se rend compte que Bourne est fragile,

Spoiler:

Je suis emballé par le film, sans être tout à fait surpris, car il n'y a ni plus (bonnes courses-poursuites à pied et en voitures), ni moins (tout les personnages ont droit à une belle scène) que ce que j'attendais dans cet opus.

Bad Taste a écrit:

lors du final, aux multiples révélations, où l'on se rend compte que Bourne est fragile,

Tu trouves ?

Spoiler:

Quant à la manière de filmer, d'autres cinéastes (Spielberg, par
exemple) ont montré qu'on pouvait exprimer le chaos et la confusion
tout en restant parfaitement lisible. J'y trouve une faiblesse.